Emmanuel Krivine Video
direttore d'orchestra
- violino
- musica classica
- Francia
Ultimo aggiornamento
2024-04-28
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Couperin Krivine Maurice Ravel Orchestre National Lyon 2016
Provided to YouTube by naïve classique Le tombeau de Couperin, M. 68a: Menuet. Allegro moderato · Orchestre National de Lyon · Emanuel Krivine · Maurice Ravel Ravel: Concertos pour piano et orchestre & Le tombeau de Couperin ℗ Audivis France Released on: 2016-12-30 Auto-generated by YouTube.
Couperin Krivine Maurice Ravel Orchestre National Lyon 2016
Provided to YouTube by naïve classique Le tombeau de Couperin, M. 68a: Forlane. Allegretto · Orchestre National de Lyon · Emanuel Krivine · Maurice Ravel Ravel: Concertos pour piano et orchestre & Le tombeau de Couperin ℗ Audivis France Released on: 2016-12-30 Auto-generated by YouTube.
Johannes Brahms Emmanuel Krivine Berlioz Liszt Mendelssohn Schumann Hans Richter Orchestre National France 1853 2019
00:00-0:36 : Intro 00:36 : 1er Mouvement - Allegro con brio 12:45 : 2ème Mouvement : Andante 20:54 : 3ème Mouvement : Poco allegretto 27:37 : 4ème Mouvement : Allegro Sous la direction d'Emmanuel Krivine, l'Orchestre national de France joue la 3e symphonie de Johannes Brahms. Extrait du concert enregistré le 6 juin 2019 à la Maison de la Radio. Allegro con brio Andante Poco allegretto Allegro Faire se rencontrer Berlioz et Brahms à l’occasion d’un concert peut paraître singulier, tant les Histoires de la musique routinières opposent systématiquement l’École dite « de Weimar », qui serait celle de la « musique de l’avenir », inaugurée par Berlioz puis incarnée par Liszt et Wagner, à celle « de Leipzig », que représenteraient Mendelssohn, Schumann et Brahms. Une telle dichotomie ne tient pas. Berlioz, qui aimait la musique de Mendelssohn et ne dirigea qu’une œuvre de Liszt (le Premier Concerto, le soir de la création), a toujours détesté se faire enrôler sous une bannière : « On m’a longtemps attribué à ce sujet, en Allemagne et ailleurs, des opinions qui ne sont pas les miennes ; par suite, on m’a souvent adressé des louanges où je pouvais voir de véritables injures », avoue-t-il dans À travers chants. Et après avoir rencontré Brahms à Leipzig, en 1853, à l’initiative du violoniste Joseph Joachim, il écrira à ce dernier : « Je vous remercie de m’avoir fait connaître ce jeune audacieux si timide qui s’avise de faire de la musique nouvelle. Il souffrira beaucoup… » La sympathie entre les deux musiciens, séparés par une trentaine d’années, fut vive mais sans lendemain. Mais la Troisième Symphonie de Brahms, comme Harold en Italie, ne fut-elle pas composée quelques mois après un séjour au-delà des Alpes ? Elle suit par ailleurs de quatre ans le Concerto pour violon et fut créée à Vienne sous la direction de Hans Richter, qui crut voir en elle une Symphonie héroïque. Il s’agit en réalité d’une partition aux couleurs d’automne comme Brahms aime à les composer, qui commence par un Allegro véhément, certes, mais dont les pages les plus éloquentes sont les deux mouvements centraux (l’Andante, avec ses trombones, est d’une solennité inattendue), au point que le tendre Quasi allegretto fut repris et adapté par plus d’un musicien de jazz et plus d’un auteur de chansons. Brahms pressentait-il cet engouement déboutonné en parlant déjà de sa « symphonie malheureusement trop célèbre » ? Le finale, sinueux et changeant, s’achève dans une espèce de sérénité résignée. On a du mal à y entendre cette « mélancolie de l’impuissance » dont parlait Nietzsche ! #Brahms #EmmanuelKrivine #OrchestrenationaldeFrance
Emmanuel Krivine Anton Dvorak Brahms Liszt Beethoven Orchestre National France Nda 1885 1891 1892 1893 1896 1897 2018
Sous la direction d'Emmanuel Krivine, l'Orchestre national de France joue la Symphonie n°8 en sol Majeur op. 88 B.163 "Tchecoslovaque" d'Anton Dvorak. Extrait du concert enregistré le 18 octobre 2018 à l'Auditorium de la Maison de la Radio. La Huitième Symphonie représente un tournant dans l’œuvre symphonique de Dvorák. Jusqu’alors très influencé par Brahms, particulièrement dans sa Septième Symphonie (1885), si dense et dramatique, le compositeur tchèque semble dériver vers la musique à programme, suivant l’exemple de Liszt. Ce changement de direction est bientôt confirmé par la composition des ouvertures symphoniques Dans la nature, Carnaval et Othello +••.••(...)), de la Neuvième Symphonie « du Nouveau monde » (1893), et surtout d’une série de cinq poèmes symphoniques +••.••(...)) avec laquelle le musicien conforme que le temps de la symphonie est pour lui définitivement révolu. Dvorák s’arrête donc, volontairement, au chiffre devenu fatidique depuis les neuf symphonies de Beethoven, et aborde à de nouveaux domaines sonores. Déjà, la Huitième combine les apparences d’une symphonie en quatre mouvements avec le caractère d’un poème symphonique évocateur, voire narratif. L’œuvre est emplie de chants d’oiseaux (flûte, clarinette), de fanfares et de marches, tandis que le troisième mouvement adopte l’allure d’une valse au milieu de laquelle s’épanouit un rustique trio. À chacun pourtant d’associer à cette musique les images qu’elle lui évoquera, car Dvorák n’a laissé aucune indication de programme, même s’il y a tout lieu de croire sa partition inspirée par la nature, la campagne de Vysoká où il aimait se retirer pour composer. Retrouvez tous les concerts et opéras en vidéo de France Musique sur (http•••) Suivez nous sur: ► Facebook - (http•••) ► Twitter - (http•••) ► Instagram - (http•••)
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