Peter Mortimer Vídeos
compositor
- Alemania, Inglaterra
Última actualización
2024-05-08
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Peter Dawson Dawson Mortimer Bateman Sir Charles Santley 1634 1900 1902 1904 1929
The Smuggler's Song sung by the famous bass-baritone Peter Dawson on HMV record number B3072 in 1929. The music was by Mortimer and Rudyard Kipling wrote the original poem. The Smuggler's Song by Rudyard Kipling Five and twenty ponies, Trotting through the dark - Brandy for the Parson, 'Baccy for the Clerk. Them that asks no questions isn't told a lie - Watch the wall my darling while the Gentlemen go by! In 1902, Kipling bought Bateman's, a house built in 1634 and located in rural Burwash in Sussex. The area had a long history of smuggling gangs and this poem is sung by a smuggler advising people to look the other way when the contraband is run through the village. Peter Dawson, generally recognized as one of the greatest baritones of the 1930s, was born in Australia and studied singing in Adelaide. Winning the first prize and gold medal at the famous Ballarat Festival in 1900, he was able to come to England where he studied with Sir Charles Santley for four years. He made his first gramophone record in 1904; since then many millions of Peter Dawson records were sold all over the world. Taken from the original record.
Mortimer Mortimer Wilson Sibelius 1924
Silent movies were never really silent....they were almost always shown with live music which helped set the mood for the various scenes. Most movies never had an "official" score and for those that did the scores were usually just compilations of existing music - extracts from operas, classical standards or generic photoplay music written for film accompaniment. The Thief of Bagdad was the rare exception, Douglas Fairbanks commissioned Mortimer Wilson to compose a score of entirely original music for the New York premier in 1924. The score was technically very challenging, probably beyond the skills of most movie theatre orchestras. Instrument parts included Flute(Piccolo), Oboe, 2 Clarinets, Bassoon, 2 French Horns, 2 Trumpets, 2 Trombones, Tympani & Percussion, Harp, Violins I & II, Viola, Cello and Contra Bass. This is just the first 20 minutes of the film and is meant to showcase the Wilson score, not to be a complete showing of the film. Score created using Sibelius 7 with NotePerformer VST plugin
Jane Berbié Charles Gounod Lasson Lucien Lupi Lupi Mortimer Portera Hirsch Pierre Dervaux Jean Fournet Ionel Perlea Georg Solti Herbert Von Karajan Lorin Maazel Riccardo Muti Riccardo Chailly Colin Davis Claudio Abbado Seiji Ozawa Georges Prêtre Richard Bonynge Joan Sutherland Gabriel Bacquier Alain Vanzo Hoffmann Ravel Chantage Opéra Comique Scala Carnegie Hall 1931 1953 1954 1955 1957 1958 1960 1961 1962 1965 1968 1969 1970 1971 1972 1976 1979 1983 1996
Jane Berbié - Roméo et Juliette - Chanson de Stephano- 2 décembre 1960 - acte 3 n°12 Jane Berbié est une mezzo-soprano française née à Villefranche-de-Lauragais le 6 mai 1931. Biographie[modifier | modifier le code] Son désir de chanter était déjà très important à l'âge de quatre ans : « J'ai toujours eu envie de faire de la musique, du chant. Mais comme j'étais malingre, mes parents me faisaient une sorte de chantage : "Si tu manges, tu chanteras à l'église dimanche, et tu tiendras l'harmonium." Malgré le refus de toute carrière artistique de la part de ma mère (qui me destinait à la comptabilité), je me suis tournée d'abord vers le piano pour arriver au chant par la suite. J'ai donc commencé des études de piano et je suis entrée au Conservatoire à treize ans et demi, dans la classe de Raymonde Blanc-Daurat.[réf. nécessaire] » Malgré un emploi du temps des plus complet (lever tous les jours à 6h15 pour l'école de comptabilité le matin, et piano et solfège au conservatoire de Toulouse l'après-midi pour un retour à Villefranche-de-Lauragais à 19h30), elle obtiendra une première médaille de piano, et une première médaille d'harmonie avec Edmond Gaujac, alors directeur du Conservatoire, ainsi que le premier prix en solfège, en chant et en art lyrique. Après l'avoir entendue dans l'Ave Maria de Charles Gounod, l'avionneur Didier Daurat l'encourage à s'orienter exclusivement vers le chant. Elle suit les cours de Mme Chauny-Lasson, épouse de Louis Izar, alors directeur du Capitole. Ayant auparavant déjà décroché de petits rôles (le petit page de Tannhaüser, une jeune fille des Noces de Figaro, le pâtre dans la Tosca), elle obtient son premier prix de chant en 1953 ; elle joue alors dans Pampanilla de Jacques-Henri Rys avec le baryton Lucien Lupi. Ce dernier lui conseille de « monter à Paris », ce qu'elle fait, pour passer le concours à L’École des vedettes, émission animée par Aymée Mortimer en direct du théâtre de Paris que dirigeait alors Elvire Popesco ; celle-ci lui prédit une belle carrière. Elle obtient le premier prix. À ce propos, elle se souvient : « Une dame m'a donné une croix, me disant "je viendrai t'applaudir à l'Opéra-Comique dans quelques mois ; prends cette croix, elle te portera bonheur !" » Mais c'est la maison-mère, l'Opéra Garnier, qu'elle intègre quelques mois après. « De fait, quelques mois après, je jouais dans Mignon. » Elle fera partie de la troupe de 1958 à 1970. Georges Hirsch, l'administrateur général, voit en elle la « soubrette » idéale de Mozart. Elle rencontre celle qui deviendra son professeur Maria Branèze, qui organise une audition devant Gabriel Dussurget, directeur du festival d'Aix-en-Provence et conseiller artistique à l'Opéra de Paris. À partir de cette rencontre commence une carrière sur les grandes scènes d'Europe et de l'étranger : Capitole de Toulouse +••.••(...)), Scala de Milan (1958 et 1971), Salzbourg (1965), Glyndebourne+••.••(...), 1972), Carnegie Hall (1965), Metropolitan (1976), etc. Elle chante sous la direction des plus grands chefs d'orchestre : Paul Éthuin, Pierre Dervaux, Jean Fournet, Pierre-Michel Le Conte, Ionel Perlea, Georg Solti, Herbert Von Karajan, Lorin Maazel, Riccardo Muti, Riccardo Chailly, Colin Davis, Claudio Abbado, Seiji Ozawa, avec une reconnaissance particulière pour Georges Prêtre, avec qui elle chante entre autres Lakmé (1962). Elle reprend cette œuvre en 1968 sous la direction de Richard Bonynge avec Joan Sutherland, Gabriel Bacquier et Alain Vanzo. On l'entend notamment dans le répertoire français : outre Mignon (1954), on peut citer Nicklausse dans Les Contes d'Hoffmann (1954), Malika dans Lakmé à Oran (1955), Mercédès dans Carmen, plusieurs rôles dans L'Enfant et les Sortilèges (dirigé par Maazel en 1961 et par Ozawa en 1979 à l'Opéra de Paris), Gontran dans Une éducation manquée (1965), Roméo et Juliette, Ascanio dans Benvenuto Cellini, Concepción dans L'Heure espagnole de Ravel, ainsi que de nombreuses opérettes. Mais elle s'illustre aussi dans le répertoire italien et mozartien Rosina, Dorabella, Zerlina, Marcellina, Orsini dans Lucrèce Borgia, etc. Elle et reçoit l'Oscar du chant en 1960. De 1983 à 1996, elle enseigne au Conservatoire national supérieur de musique de Paris, ainsi qu'à l'École normale de musique de Paris.
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- cronología: Compositores (Europa).
- Índices (por orden alfabético): M...