Peggy Bouveret Videos
Opernsänger, Gesangslehrer
- Sopran
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2024-06-10
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Offenbach Michel Sénéchal Peggy Bouveret Delange Joyce Castle Atkins Benoit 1980
Robinson - Michel Sénéchal Edvige - Peggy Bouveret Suzanne - Pierrette Delange Vendredi - Sonia Nicogossian Deborah - Joyce Castle Toby - Bernard Van Der Meersch Will Atkins - Jean-Christoph Benoit ORTF / Conductor Jean-Pierre Marty Paris, Teatre des Champs Elysees. 1980
Amel Brahim Djelloul Petri Peggy Bouveret Messager Mozart Alain Altinoglu René Jacobs Sartorio Attilio Cremonesi Bernard Haitink Pasdeloup Levant Opéra Angers Nantes Opéra Nice Opéra Avignon Théâtre Châtelet Opéra Massy Innsbrucker Festwochen Alten Musik Deutsche Staatsoper Berlin Staatsoper Opéra Lyon Chorégies Opéra Lille Orchestre National Ile France Orchestre Pasdeloup Orchestre National France 2002 2003 2005 2006 2008
Wikipedia: Amel Brahim-Djelloul a débuté son apprentissage musical par l'étude du violon. Elle commence le chant à Alger, sa ville natale, dans la classe d'Abdelhamid Belferouni. C'est Noëlle Barker qui lui conseille de venir à Paris pour parfaire son apprentissage. Elle poursuit ainsi sa formation à l'École nationale de musique de Montreuil auprès de Frantz Petri, puis au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris auprès de Peggy Bouveret et de Malcolm Walker, avec qui elle travaille depuis. Elle sort diplômée du Conservatoire en juin 2003. Unanimement reconnue comme l'une des personnalités musicales les plus talentueuses de sa génération, Amel Brahim-Djelloul est particulièrement appréciée pour la qualité de sa voix et la couleur riche et ensoleillée de son timbre. Elle a déjà abordé plusieurs rôles majeurs tels que Susanna dans Le Nozze di Figaro à l'Opéra d'Angers-Nantes puis à l'Opéra de Lausanne et au Capitole de Toulouse, Despina dans Così fan tutte à l'Opéra de Nice, Adina dans L'elisir d'amore à l'Opéra d'Avignon, Nanetta dans Falstaff au Théâtre des Champs-Elysées ou le rôle-titre de Véronique de Messager au Théâtre du Châtelet à Paris. Elle fait ses débuts sur scène en 2002 en Pamina dans La Flûte enchantée de Mozart à l'Opéra de Massy avec l'Orchestre National d'Ile-de-France dirigée par Alain Altinoglu et mise en scène par Lukas Hemleb. René Jacobs la remarque et l'invite aux Innsbrucker Festwochen der Alten Musik pour une nouvelle production du Giulio Cesare de Sartorio dirigée par Attilio Cremonesi. Il lui confie par la suite les rôles de Valletto et Amore dans le Couronnement de Poppée dans une nouvelle production du Couronnement de Poppée que René Jacobs dirige au Théâtre des Champs-Élysées, puis au Deutsche Staatsoper de Berlin et à la Monnaie de Bruxelles mis en scène par David Mc Vicar. Elle fait ses débuts au Festival International d'Art Lyrique d'Aix-en-Provence en juillet 2005 dans La Clemenza di Tito (Servilia). On a aussi pu l'entendre dans la nouvelle production de Pelléas et Mélisande dirigée par Bernard Haitink au Théâtre des Champs-Élysées. Amel Brahim-Djelloul est invitée à se produire prochainement à l'Opéra de Lyon, à l'Opéra de Paris, ainsi qu'aux Chorégies d'Orange. Elle est également invitée par des orchestres tels que l'Orchestre Pasdeloup, l'Orchestre National de France ou l'Orchestre National d'Ile-de-France. De plus, elle participe à des évènements destinés à faire découvrir la musique classique au grand public tel que le festival un violon sur le sable organisé chaque été sur les plages de Royan devant 40 000 spectateurs par concert. Amel Brahim-Djelloul se produit régulièrement en récital, ainsi en avril 2006 à l'Opéra de Lille et en juin 2006 au Festival de Saint-Denis. Fière de ses origines, soucieuse de les défendre, elle a souhaité élaborer le programme de son premier disque édité par Ame Son sur le thème des 1001 nuits, qui lui est cher. Son nouveau disque, paru en octobre 2008, s'intitule "Amel chante la méditerranée - Souvenirs d'Al-Andalus" et a été élaboré avec son frère, Rachid, et l'ensemble Amedyez qu'il dirige. Ce disque propose un voyage en Méditerranée entre les différents styles de musiques du Maghreb et du Levant issues de l'âge d'or de la musique d'Andalousie (Al-Andalus) après que les juifs et les arabo-musulmans en ont été chassés à partir du XIIe siècle.
Amel Brahim Djelloul Gervais Petri Peggy Bouveret William Christie Messager Théâtre Châtelet Opéra Nice Opéra Avignon Staatsoper Staatsoper Berlin Théâtre Monnaie Grand Théâtre Genève 2005 2007 2017
Août 2017, Musique et Patrimoine... Saint-Gervais Mont-Blanc, Eglise de Saint-Nicolas de Véroce... Amel Brahim Djelloul, Ensemble Amedyez... Extraits du concert du 8 août 2017... (http•••) (http•••) (http•••) Amel Brahim Djelloul elle a débuté son apprentissage musical par l'étude du violon avant de commencer le chant. Durant sa formation, elle a bénéficié des enseignements de Abdelhamid Belferouni, Noëlle Barker, Frantz Petri, Peggy Bouveret et Malcolm Walker. Elle est diplômée du CNSMD de Paris. Dans le cadre du Jardin des Voix de William Christie, elle se produit en 2005 sur les scènes les plus prestigieuses du monde. En 2007, elle est nommée dans la catégorie Révélation Lyrique des Victoires de la Musique. Reconnue comme une personnalité musicale d'exception, appréciée pour la couleur riche et ensoleillée de son timbre, la soprano Amel Brahim-Djelloul traverse cette saison encore les divers univers musicaux, pour le plus grand bonheur du public. Son parcours lui a déjà donné l'occasion d'aborder sur de prestigieuses scènes plusieurs rôles majeurs du répertoire, tels Servilia (La clemenza di Tito) à l'Opéra de Paris et au Festival d'Aix en Provence, le rôle-titre de Véronique de Messager au Théâtre du Châtelet, Nanetta (Falstaff ) au Théâtre des Champs-Elysées, Susanna (Le Nozze di Figaro ) à Angers-Nantes Opéra et à l'Opéra de Lausanne, Pamina (Die Zauberflöte) et Despina (Così fan tutte) à l'Opéra de Nice, Adina (L'Elisir d'Amore) à l'Opéra d'Avignon, ou encore Drusilla, Amore et Valletto dans différentes productions de L'Incoronazione di Poppea (Opéra de Paris, Théâtre des Champs-Elysées, Staatsoper de Berlin, Théâtre de la Monnaie à Bruxelles, Grand Théâtre de Genève, Opéras de Lille et Dijon). Elle a également interprété Ninette dans L'Amour des Trois Oranges et Suor Genovieffa dans Suor Angelica à l'Opéra de Paris, ainsi que Mélisande (Pelléas et Mélisande) à Besançon. Fière de ses origines et soucieuse de les défendre, elle a souhaité élaborer le programme de son premier disque (Les 1001 nuits, édité par Ame Son et unanimement reçu par la presse) sur le thème des célèbres contes orientaux. Son disque suivant, Amel chante la Méditerranée propose des pièces du patrimoine arabo-andalous adaptées par son frère, le violoniste et musicologue Rachid Brahim-Djelloul, et interprétées avec l'Ensemble Amedyez. Ensemble Amedyez L'ensemble Amedyez est composé de différents musiciens de musique traditionnelle réunis autour du violoniste franco-algérien Rachid Brahim-Djelloul qui en assure la direction artistique. Ce dernier souhaite y faire fleurir toute la diversité et la richesse d'un patrimoine méditerranéen multiple et pourtant féru de résonances communes. Parmi les musiciens qui font partie de cet ensemble, on peut citer Noureddine Aliane (Ud), Dahmane Khlafa (Darbouka et percussions)...
Gluck Erik Kurmangaliev Bouveret Watts Bourgoin Ranieri Cara Orme Olympia 1991
ABOUT THE PICTURES They are a miscellaneous collection of Orfeana from here and there which I have assembled to accompany the music (as well as a photo of the singer that concludes the video.) Image credits are as follows: 1) Antonio Canova, sculptor (photographer unknown) 2) Pascal Adolphe Jean Dagnan-Bouveret 3) Jonathan Alibone 4) Thomas Crawford, sculptor (photographer unknown) 5) Richard Putz 6) Unknown Attic potter (photographer unknown) 7) Alexandre Séon 8) Roger Corbeau(?) 9) George Frederick Watts 10) Jean Delville 11) Shoshanna Vaynman 12) Enzie Shahmiri 13) Jean Bourgoin(?) 14) Photographer unknown ABOUT THE SINGER AND THE PERFORMANCE Starting as a largely self-taught teenager in the mid-1970s, and battling a Moscow musical culture that neither valued nor really understood countertenors at the time, Kazakh-born Erik Kurmangaliev persevered and blossomed into a remarkable musician. He was not widely known in the west, and he left us only a meager discography by which to remember him; but what we have shows a performer of wit and intelligence, with a flair for subtlety and thoughtful phrasing. The voice was not perfect: a certain shrillness tended to creep in when he sang high and loud; but his pianissimi were as finely crafted as any countertenor's, his access to the modal register enabled him to hit low notes with ease that would vex a pure falsettist, and he sang with an unguarded honesty which sets his performances apart from the somewhat drier, more academicized work of his contemporaries. He was best known for his performances of the Russian repertory, but he could and did sing other things, such as this rendition of Chiamo il mio ben così, perhaps the most tuneful aria in Gluck's Orfeo ed Euridice, and a deceptively treacherous piece. Many singers have made it sound like pretty music, but only a few have managed to breathe real dramatic life into it. Kurmangaliev's rendition is one of the finest I have ever heard by a male performer. The recording was issued in 1991 on the Olympia label. TEXT (by Ranieri de Calzabigi) Chiamo il mio ben così quando si mostra il dì, quando s'asconde. Ma, oh vano mio dolor! l'idolo del mio cor non mi risponde. Euridice! Euridice! Ombra cara, ove sei? Piange il tuo sposo, ti domanda agli dèi, a' mortali ti chiede e sparse a' venti son le lagrime sue, i suoi lamenti. Cerco il mio ben così in queste, ove morì, funeste sponde. Ma sola al mio dolor, perché conobbe amor, l'eco risponde. Euridice! Euridice! Ah, questo nome san le spiagge, e le selve l'appresero da me. Per ogni valle Euridice risuona; in ogni tronco scrisse il misero Orfeo, Orfeo infelice: «Euridice, idol mio, cara Euridice». Piango il mio ben così, se il sole indora il dì, se va nell'onde. Pietoso al pianto mio va mormorando il rio e mi risponde. Numi! barbari numi! D'Acheronte e d'Averno pallidi abitator, la di cui mano avida delle morti mai disarmò, mai trattener non seppe beltà né gioventù, voi mi rapiste la mia bella Euridice (oh memoria crudel!) sul fior degli anni: la rivoglio da voi, numi tiranni. Ho core anch'io per ricercar sull'orme dei più intrepidi eroi, nel vostro orrore, la mia sposa, il mio ben...
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