Jacques Offenbach Le château à Toto Video
Ultimo aggiornamento
2024-03-27
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Jacques Offenbach Tsenin Sokolov Karas Tikhonov 1719 1864 1868 1955 2022
Le Fifre enchanté (1864/1868) Opérette-bouffe en 1 acte Livret de Charles Nuitter et Etienne Tréfeu (Texte russe de S.Tsenin) Musique de Jacques Offenbach RIGOBERT - A. Sokolov (dialogues : V. Zeldin / flûte : G. Karas) CAROLINE (Coraline) - L. Isaeva (dialogues : L. Kasatkina) M. CRAPO (M. Robin) - S. Tsenin Mme. CRAPO (Mme Robin) - T. Janko POPOLINA (Popelinet) - A. Tikhonov (dialogues : V. Lepko) JOSEPH (non existant dans la version française) - A. Kolshakov (dialogues : G. Menglet) Note : les noms propres ont été traduits de manière automatique et peuvent présenter des erreurs - la liste originale en écriture cyrillique russe est reproduite dans la vidéo. Chœur et Orchestre de variétés de la Radio soviétique dirigés par E. Akulov Enregistré en 1955 Disque Melodiya Collection Jérôme Collomb Numérisation : J. Collomb, le 23/01/2022 Les craquements ont été conservés afin de ne pas altérer la qualité du son par un traitement numérique. Cet enregistrement intégral en russe est, en réalité, plus une adaptation qu'une traduction fidèle : l'ordre des numéros est modifié vis-à-vis de la partition originale française et un nouveau morceau y est intercalé (une duetto pour Coraline et le nouveau personnage de Joseph d'après le N°12bis Ariette du Château à Toto, opéra-bouffe en 3 actes de 1868) De plus, l'orchestration d'Offenbach est modifiée, comme souvent à cette époque. Voici l'ordre de la partition dans cet enregistrement avec la numérotation originale : 0:00 - Ouverture X:XX - Duetto (d'après le N°12bis Ariette du Château à Toto) *note* : ce numéro a été supprimé de la vidéo suite à un conflit de copyright avec l'enregistrement (pourtant différent) du même morceau : (http•••) 9:59 - N°2 Couplets et trio 17:19 - N°1 Air 20:44 - N°4 Chœur des fifres et couplets 25:16 - N°6 Quintette de la truffe 33:30 - N°7 Quatuor et couplets 40:09 - N°5 Madrigal 47:14 - N°8 Final Note : le N°3 Mélodrame est coupé
Jacques Offenbach Festival Châteaux Bruniquel 2008
(http•••) Le Château à Toto - Opéra Bouffe de Jacques Offenbach - Festival des Châteaux de Bruniquel 2008 -
Jacques Offenbach Halévy Hortense Schneider Schneider Dupuis Charles Lecocq Opéra Comique 1865 1867 1868 1869 1874
Couplets de l'Incognito de la Périchole La Périchole est un opéra-bouffe de Jacques Offenbach, sur un livret de Ludovic Halévy et Henri Meilhac inspiré d'une comédie de Prosper Mérimée : Le Carrosse du Saint-Sacrement créé le 6 octobre 1868 au théâtre des Variétés dans une version en deux actes, puis dans une version remaniée en 3 actes et 4 tableaux le 25 avril 1874, toujours aux Variétés. En 1867, Offenbach est présent sur quatre théâtres à la fois : La Vie parisienne continue de divertir le public de l'Exposition universelle au Palais-Royal, tandis que La Grande-duchesse de Gérolstein triomphe aux Variétés avec Hortense Schneider (les deux œuvres étant dues à la plume de ses librettistes favoris, Henri Meilhac et Ludovic Halévy), que les Menus-Plaisirs font florès avec la seconde version de Geneviève de Brabant et que l'Opéra-Comique donne à nouveau sa chance au compositeur avec Robinson Crusoé, dans lequel Offenbach alterne avec talent romantisme et bouffonnerie, sans convaincre tout à fait. En revanche, 1868 est une année plus sombre : Le Château à Toto, nouvel opéra-bouffe signé Offenbach, Meilhac et Halévy, surprend en raison d'un livret où la nostalgie et la lassitude de la grande ville ont pris la place de la bouffonnerie échevelée à laquelle le trio a habitué son public (Halévy traverse cette année-là une phase de dépression). Le Pont des soupirs (2e version en quatre actes) a fait son retour le 8 mai au théâtre des Variétés et se solde par un demi-échec. Ce n'est que fin septembre qu'Offenbach retrouve les faveurs du public aux Bouffes-Parisiens, où il donne deux opérettes en un acte : Le Fifre enchanté, créé en 1865 à Bad Ems et dont c'est ici la première apparition à Paris, et L'Île de Tulipatan, toutes deux saluées par la critique, la première pour sa musique, la seconde pour son excellent et audacieux livret. Fort de ce succès, Offenbach revient aux Variétés avec Hortense Schneider et Dupuis, sur un nouveau livret de Meilhac et Halévy : La Périchole. La pièce est un demi-succès… Le livret est, tout comme le Château à Toto, très différent dans l'atmosphère : on y a faim, on y est incapable d'aimer car pauvre, on y est méprisé, malheureux, on y est le jouet des souverains (contrairement à la Grande-Duchesse où c'est l'héroïne qui est le jouet de ses amours capricieuses). La scène de griserie et le mariage à la fin de l'acte I, où les futurs conjoints sont saouls, sont très mal perçus. Le livret se termine de façon abrupte. Et même si les « Couplets de l'Espagnol », la « Lettre » et d'autres airs deviennent très vite populaires, la pièce ne reste pas à l'affiche. Il est vrai que la situation politique s'assombrit : la guerre franco-prussienne (qui précipitera la chute du Second Empire) couve, ainsi que le trio le prédisent en 1869 dans Les Brigands et leurs célèbres « bruits de bottes ». Il faudra attendre 1874 pour que l'œuvre connaisse enfin un succès pérenne dans sa version définitive en 3 actes et 4 tableaux (Offenbach en aura donné entre temps pas moins de cinq versions entre Vienne et Paris). Avec le Château à Toto, La Périchole constitue ainsi les prémices d'une évolution irrémédiable d'Offenbach vers le style « opéra-comique » abordé ponctuellement jusque-là (Les Bergers, La Chanson de Fortunio, etc.) et qui fera le succès de Charles Lecocq sous la Troisième République. Sur ce bonne écoute et passez de bons moments en musique :-)
Jacques Offenbach Halévy 1866 1868 1869
Después del éxito fenomenal de "La Vie parisienne" en 1866, el Théâtre du Palais-Royal encargó una nueva opéra-bouffe a Jacques Offenbach. Con libreto también de Henri Meilhac y Ludovic Halévy, "Le Château à Toto" se planteó desde el comienzo como una auténtica secuela (e incluso spin-off) de "La Vie parisienne". La obra obtuvo un muy relativo éxito tras su estreno en mayo de 1868 y los autores hubieron de refundir los tres actos originales en dos. La pegadiza partitura de "Le Château à Toto", sin embargo, merece hoy ser conocida y ojalá que algún día llegue a grabarse completa. De una vieja grabación de la ORTF comparto este fragmento del gran final del segundo acto. Es una "chanson à boire", un brindis, a ritmo de polca. El estreno español de "El castillo de Totó" tuvo lugar en el Teatro de los Bufos Arderíus (Circo de la plaza del Rey) el 2 de noviembre de 1869. La adaptación castellana era de Ricardo Puente y Brañas y no fue del agrado del público. Libreto original francés: (http•••) Partitura para canto-piano de números seleccionados: (http•••) Imagen: (http•••)
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