Toussaint Bertin de la Doué Vidéos
compositeur, maître de musique de la princesse d'Orléans
- opéra
- France
- compositeur ou compositrice
Dernière mise à jour
2024-05-16
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Bach Johann Nikolaus Forkel Johann Gottlieb Goldberg Wilhelm Friedemann Bach Friedemann 1740 1741 1802 1974
Le célèbre Aria des variations Goldberg Écrites vers le début des dix dernières années de la vie de Bach, elles inaugurent la série des œuvres monothématiques et contrapuntiques de sa musique instrumentale. On retrouve l'importance de ces Variations Goldberg dans le manuscrit autographe de la main de Bach, qui n'a été découvert qu'en 1974 en Alsace par Olivier Alain : parmi les additifs et corrections, Bach a ajouté une série de « quatorze canons sur les huit premières notes fondamentales de l'Aria », dont le principe se retrouve dans ses œuvres plus tardives, telles que l'Offrande musicale et L'art de la fugue. Elles sont initialement destinées au clavecin à deux claviers, l'usage fréquent de croisements de mains rendant leur interprétation difficile sur un seul clavier. Selon la tradition, inspirée de la biographie de Bach1 qu'écrivit Johann Nikolaus Forkel en 1802, elles furent commandées au compositeur par le Comte Keyserling. Bach était en voyage à Dresde en novembre 1741, et on peut soupçonner qu'il ait présenté à son protecteur, c'est-à-dire précisément le Comte Keyserling, une copie des Variations Goldberg qui venaient d'être imprimées. Peut-être Johann Gottlieb Goldberg, l'apprenti claveciniste et élève extrêmement doué de Johann Sebastian et de Wilhelm Friedemann Bach a-t-il joué ces Variations à son maître le Comte pour distraire ses longues nuits d'insomnies, et pour l'accompagner jusque dans les bras de Morphée. Mais cette légende a néanmoins largement été contestée aujourd'hui, du fait de l'absence de dédicace au frontispice de l'édition de 1741, très en coutume à l'époque, et de l'absence, dans l'inventaire des biens de Bach après sa mort, de traces des riches cadeaux faits par Keyserling à Bach, selon Forkel (une coupe en or remplie de cent louis d'or). De plus, l'âge du jeune Goldberg nous laisse penser qu'il est très peu probable que lors de la composition, qui daterait au plus tard de 1740, Bach ait songé aux talents de son élève, tout juste âgé de 13 ans. Il vaut sans doute mieux attribuer ces variations, quatrième et dernière partie de la "Clavier-Übung", à une initiative personnelle de son compositeur. L'édifice monumental de ces "Exercices pour clavier", présentant dans des compositions exemplaires les genres les plus importants de la musique pour clavier, devait en effet avoir pour clé de voûte couronnant le tout une grande œuvre cyclique. Structure[modifier] À partir de l'Aria introductive, une sarabande lente et ornée, et fondée sur le motif de basse très répandu de la "gagliarda italienna" (gaillarde italienne), Bach crée un immense univers en développement, qui regroupe de nombreux styles musicaux : Canons, fugues, gigues, chorals ornés. Ce développement se compose de trente variations, séparées en deux grandes parties de quinze variations, la seconde partie commençant par une ouverture. Après ces trente variations dans lesquelles Bach emploie tous les moyens imaginables pour partir du même point et pour revenir au même point (chaque variation correspond à une mesure de l'aria), il clôt le cycle par une réitération de l'aria, laissant suggérer que rien n'est achevé. Wikipedia
Offenbach Hoffmann Plácido Domingo Agnes Baltsa
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Giuseppe Verdi Colli Molli Dolci Torri Cara
Dies Video ist eingebettet auf meiner Homepage mon cher monde, Site: Begnadete Stimmen, Geniale Komponisten (Cette vidéo est intégrée sur ma page d'accueil: doué votes / compositeur de génie) (http•••) (http•••) Va', pensiero, sull'ale dorate; va', ti posa sui clivi, sui colli, ove olezzano tepide e molli l'aure dolci del suolo natal! Del Giordano le rive saluta, di Sonne le torri atterrate... Oh mia patria sì bella e perduta! Oh membranza sì cara e fatal! Arpa d'or dei fatidici vati, perché muta dal salice pendi? Le memorie nel petto raccendi, ci favella del tempo che fu! O simìle di Sòlima ai fati traggi un suono di crudo lamento, o t'ispiri il Signore un concento che ne infonda al patire virtù! Hâtez-pensées sur les ailes d'or. Hâte-toi et reste sur les hauteurs boisées, où chaud et parfumé et doux sont les douces brises de notre terre natale! Les rives du Jourdain, nous saluons et les tours de Sion. O, ma patrie, si belle et perdue! O souvenirs, si chère et si mortelle! Golden harpe de nos prophètes, pourquoi ne vous raccrochez en silence sur le saule? Raviver la mémoire de nos cœurs, et de parler des temps passés! Ou, comme le fatidique Salomon, dessiner une complainte de son cru; ou de permettre au Seigneur de nous inspirer à supporter nos souffrances! Hasten thoughts on golden wings. Hasten and rest on the densely wooded hills, where warm and fragrant and soft are the gentle breezes of our native land! The banks of the Jordan we greet and the towers of Zion. O, my homeland, so beautiful and lost! O memories, so dear and yet so deadly! Golden harp of our prophets, why do you hang silently on the willow? Rekindle the memories of our hearts, and speak of the times gone by! Or, like the fateful Solomon, draw a lament of raw sound; or permit the Lord to inspire us to endure our suffering!
Maurice Thiriet Christiane Eda Pierre Pietri Falcon Manuel Rosenthal Rosenthal Charles Koechlin Roland Manuel Maurice Ravel Plut Reynaldo Hahn Hahn Maure Georges Van Parys 1906 1935 1936 1937 1938 1941 1942 1945 1948 1949 1952 1953 1954 1958 1959 1960 1964 1972
Maurice Thiriet +••.••(...)France) Œdipe Roi, pour récitant, soli, chœur et orchestre (1941) Christiane Eda Pierre, soprano Franz Pietri, baryton André Falcon, récitant Dir : Manuel Rosenthal Orchestre National de l'ORTF Choeurs de l'ORTF (Jean Paul Kreder) FOR THE PROLOGUE : (http•••) On collectionCB3, collectionCB5 we can also listen to Maurice Thiriet’s « Poème pour orchestre de chambre » (1936), « "La Nuit vénitienne" ballet en un acte et trois tableaux » (1939), « Prologue pour orchestre d’ "Œdipe Roi" » (1941), « "Psyché" ballet en un acte et deux tableaux » (1954 ; non représenté). Elève de Charles Koechlin puis de Roland-Manuel, Maurice Thiriet, âgé de dix-sept ans, fit lire ses premières partitions à Maurice Ravel qui constata : « Vous ne savez rien, mais vous êtes doué. » La carrière de Maurice Thiriet commença véritablement à l'Opéra de Paris avec un ballet qui plut à Reynaldo Hahn : « Une Nuit vénitienne » (1938). Pour le chorégraphe Roland Petit il composa en 1948 « L'Œuf à la coque » qui lui apporta la célèbrité et lui offrit d'écrire en 1953 : « Deuil en vingt-quatre heures » et « Héraklès ». Les années suivantes, il écrivit de nombreux autres ballets dont « Psyché » (1954), « Le Maure de Venise » (1960) et « Othello » (1964). Si son œuvre pour concert est aujourd'hui délaissée / la « Rhapsodie sur des thèmes Incas » (1935) pour orchestre, le « Poème » pour orchestre de chambre (1936) ; l'opéra « Le Bourgeois de Falaise » (1937) ; le « Concerto pour flûte et orchestre de cordes » (1959) / Maurice Thiriet demeure l'un des grands compositeurs français de cinéma, avec une cinquantaine de musiques de films dont plusieurs chefs-d'œuvre : « Les Enfants du Paradis » de Marcel Carné (1945 ; avec Joseph Kosma) ; « L'Idiot » de Georges Lampin (1945) ; « Une si jolie petite plage » d'Yves Allegret (1949) ; « Fanfan-la-Tulipe » de Christian-Jaque (1952 ; avec Georges Van Parys) ; « Thérèse Raquin » de Marcel Carné (1953) ; « Les Grandes familles » de Denys de la Patellière (1958)... Maurice Thiriet fit des suites d'orchestre de « La Nuit Fantastique » (1941, film de Marcel L'Herbier) et des « Visiteurs du Soir » (1942, film de Marcel Carné) dans lesquelles s'expriment les qualités de son écriture mélodique, romantique et élégante. LIST OF UPLOADS OF COLLECTIONCB, COLLECTIONCB2, COLLECTIONCB3, COLLECTIONCB4, COLLECTIONCB5 and IDEAL "DISCOTHEQUE" OF MORE THAN 1,700 ORCHESTRAL WORKS OF FEELINGS : (http•••)
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- chronologie: Compositeurs (Europe).
- Index (par ordre alphabétique): L...