Sylvia Abramowicz Actualités
Dernière mise à jour
2024-04-29
Actualiser
2023-12-01 08:56:43
Jacob Weiss (1825-1899) : Quatre Psaumes et Cinq Hymnes. Joseph Sulzer (1850-1925) : Quatre Préludes pour orgue. Jakub Stefek, orgue ; Isidoro Abramowicz, chantre ; Orchestre de chambre de l’Académie des Arts de Szczecin, direction Barbara Halec. 2022. Notice en […]
2020-03-11 01:00:24
[…] souhait, mobilise l’essentiel des effectifs. Sans lien de parenté avec Heinrich, Gabriel Schütz, formé à Lübeck, et ses quatre fils furent actifs à Nüremberg. Bien que considéré comme le plus grand maître de viole de l’aire germanique de son temps, ne nous sont parvenues de lui que quatre œuvres, dont deux sonates pour deux gambes. Empreinte de recueillement à son ouverture, celle que nous écoutons nous réserve le bonheur d’expressions renouvelées. Florence Bolton et Sylvia Abramowicz s’y livrent avec une égale liberté comme avec une maîtrise exemplaire. Un enregistrement attachant par son approche et par les qualités remarquables des musiciens de la Rêveuse. De la brochure d’accompagnement, trilingue, richement documentée, on retiendra la description de la Lübeck de Buxtehude, et le cheminement des œuvres vers Düben, à Uppsala, où ce trésor est conservé. Les textes chantés et leur traduction (français, allemand, anglais) sont appréciés.
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Les blogs Qobuz
2016-12-19 20:10:50
Ténèbres chez le Roi Soleil
[…] Zaïcik se sont mariées avec la grâce la plus absolue, dans un perpétuel bonheur d’intonation et de timbre, l’exécution magistrale des ornements, trille, tremblement etc. allant de soi. Ce bonheur s’est trouvé multiplié dans le Miserere grâce à Lucie Richardot, bien rare contraltino aux sonorités d’un autre temps (et presque d’un autre genre), utilisé avec un raffinement musical exquis. DR Quand on aura associé à ce triomphe la basse de viole de Sylvia Abramowicz et l’orgue/clavecin de Frédéric Rivoal et, bien entendu, Vincent Dumestre et son Poème Harmonique, on admirera seulement qu’avec si peu de moyens mis en œuvre, mais avec un tel degré de préparation et de dédication de soi, la beauté la plus économe, mais aussi la plus royale, soit si pleinement achevée. Versailles, 17 décembre 2016
2015-10-08 02:26:27
[Carnet d'écoutes n°85] – airs pré-Guédron, Ballet de la Nuit version critique, Bellini sur crincrins, des Aida, Kasarova en russe, vérisme & naturalisme…
A. Musique vocale renaissance et baroque 1. CŒUR : airs du cour français de la fin du XVIe siècle Première écoute du dernier disque de Vincent Dumestre, avec un quatuor éclatant de solistes (Lefilliâtre, Le Levreur, Goubioud, Mauillon) et les meilleurs accompagnateurs possibles (Chauvin, A. Mauillon, Dumestre, Abramowicz…). J'y reviendrai assurément pour moi-même, et peut-être pour CSS, La petite frustration personnelle réside dans le choix (cohérent, vu l'époque) de versions polyphoniques pour nombre des titres. Dumestre le fait très souvent, et de fait c'était une norme avant que Guédron n'introduise progressivement la monodie en même temps que la bascule dans l'âge baroque – lui-même ayant majoritairement écrit des airs polyphoniques. Néanmoins, en ce qui me concerne, je suis beaucoup plus touché par la souplesse expressive et le caractère plus direct du verbe en solo, donc aux airs monodiques. […]
ou
- chronologie: Interprètes.
- Index (par ordre alphabétique): A...