Rémy Corazza Actualités
Dernière mise à jour
2024-04-25
Actualiser
2019-05-27 07:00:06
[…] années ? Je n’en suis pas certain. Les grandes voix dramatiques sont toujours peu présentes en France. Il y a eu une évolution énorme dans le baroque. Il y a de très belles voix, plutôt légères. Quels sont les chanteurs français actuellement auxquels on peut demander un Wagner, des grands Verdi ou Puccini ? Il y en a très peu. Vous pensez que c’est une question de formation ? Oui, c’est aussi une question d’esthétique. Rémy Corazza avec qui j’ai chanté De la Maison des morts à Strasbourg en 2013, ténor âgé aujourd’hui de plus de 80 ans, m’expliquait qu’à Paris dans les années 1950-60, il y avait 110 chanteurs dans la troupe de l’Opéra. Il y avait des voix pour tous les rôles, notamment ceux qu’on appelait « les gueulards » auxquels étaient dévolus les emplois dramatiques et qui ont été mis sur la touche ensuite, lorsque Rolf Liebermann est arrivé dans […]
2018-06-13 05:44:30
[…] tailleur amoureux, sans oublier une belle ouverture en forme de pot-pourri. Le concert radiodiffusé de 1957 que propose aujourd’hui le label Malibran se situe chronologiquement entre le plus ancien des enregistrements disponibles (1947) et l’intégrale de 1962, avec Christiane Harbell dans le rôle-titre et André Mallabrera en Griollet. En matière de respect de la partition, on se situe à mi-chemin entre la sélection d’extraits gravée en 1966, avec notamment Nadine Sautereau, Michel Dens et Rémy Corazza, et l’intégrale de 1962. La version Malibran est très coupée au dernier acte, dont manque l’essentiel ou presque, et même l’ouverture est réduite à la portion congrue (y manquent les deux tiers de la musique, soit toute la partie centrale où sont cités la valse du 2e acte et le duo « J’ose vous le dire »). Le rôle-titre est assumé par Lina Dachary, pilier de tant de concerts d’opérettes des années 1950 et 1960 : toute […]
2013-09-30 01:12:47
De la Maison des Morts à Strasbourg : Trop beau pour être vrai
[…] même, mais jamais bouleversé. Toute la pléthorique distribution est à louer pour son implication dramatique, sa crédibilité scénique et son interprétation musicale. Faute de pouvoir tous les nommer, notons la dignité inaltérable de Nicolas Cavallier en Goryantchikov, l’expressivité de Peter Straka en Filka Morosov, n’hésitant pas à tordre sa voix pour plus d’impact dramatique, la tendresse du Skouratov d’Andreas Jäggi quant il évoque sa Louisa, l’incroyable relief donné au Vieux Forçat par le vétéran Rémy Corazza , enfin et surtout le magnifique Chichkov de Martin Bárta , passionnant de bout en bout dans son long monologue auquel il confère une émotion indicible. Comme à son habitude, le Chœur de l’Opéra du Rhin est somptueux d’intensité, de puissance et d’impact. En fosse, Marko Letonja récolte les fruits d’un énorme travail en amont avec l’orchestre. Sa battue nette et précise obtient une parfaite mise en place, sans décalage aucun, en dépit […]
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