Paata Burchuladze Actualités
artiste lyrique
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- basse
- opéra
- Géorgie, Union soviétique
Dernière mise à jour
2024-03-25
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2019-01-28 07:37:47
Paris. Opéra Bastille. 25-I-2019. Hector Berlioz (1803-1869). Les Troyens, opéra en cinq actes sur un livret du compositeur d’après L’Enéide de Virgile. Mise en scène et décors : Dmitri Tcherniakov. Costumes : Elena Zaytseva. Lumières : Gleb Filshtinsky. Vidéo : Tieni Burkhalter. Avec : Brandon Jovanovich, Enée ; Stéphanie D’Oustrac, Cassandre ; Ekaterina Semenchuk, Didon ; Stéphane Degout, Chorèbe ; Paata Burchuladze, Priam; Christian Hemler, Panthée ; Christian van Horn, Narbal ; Cyrille Dubois, Iopas ; Michèle Losier, Ascagne ; Aude Extrémo, Anna ; Bror Magnus Tǿdenes , Hylas; Jean-luc Ballestra, Un capitaine grec; Véronique Gens, Hécube ; Sophie Claisse, Polyxène ; Jean-François Marras, Hélénus ; Thomas Dear, le Fantôme d’Hector ; Tomislav Lavoie, un Soldat ; Bernard Arrieta, Mercure. Chœurs (chef de chœur : José Luis Basso) et Orchestre de l’Opéra National de Paris, direction : Philippe Jordan
2019-01-25 03:28:58
Les Troyens, cheval de bataille de l’Opéra Bastille ? on pourrait presque le croire, avec cette troisième production en trente années d’existence, depuis la toute première représentation lyrique in loco, signée Pier Luigi Pizzi en passant par le spectacle signé Herbert Wernicke, importé de Salzbourg par Gerard Mortier. C’est au tour de Dmitri Tcherniakov de proposer sa vision du grand œuvre berliozien, mais le résultat n’est hélas pas tout à fait à la hauteur des espérances. Une fois encore, Troie est plus réussi que Carthage, ce que l’on pouvait dire aussi de la mise en scène de Yannis Kokkos au Châtelet : la guerre narrée par l’Iliade inspire Tcherniakov, qui en fait un conflit d’aujourd’hui, en opposant comme jamais la rue et les dirigeants. D’un côté, des immeubles en ruines et une population qui souhaite pouvoir enfin s’arracher à la grisaille ; de l’autre, la famille royale d'un pays qui a de petits […]
2018-02-04 04:56:01
Monte-Carlo. Opéra Garnier. 31-I-2018. Jacques Offenbach (1819-1880) : Les Contes d’Hoffmann, opéra fantastique en un prologue, trois actes et un épilogue sur un livret de Jules Barbier, d’après la pièce écrite par lui-même et Michel Carré, inspirée de trois contes fantastiques d’Ernst Theodor Amadeus Hoffmann. Mise en scène : Jean-Louis Grinda. Décor et lumière : Laurent Castaingt. Costumes : David Belugou. Avec : Juan Diego Flórez, Hoffmann ; Olga Peretyatko, Olympia/Antonia/Giulietta/Stella. Nicolas Courjal, Lindorf/Coppélius/Docteur Miracle/Capitaine Dapertutto. Sophie Marilley, Nicklausse ; Rodolphe Briand, Andrès/Cochenille/Frantz/Pitichinaccio ; Marc Larcher, Nathanaël ; Yuri Kissin, Hermann/Schlemil ; Antoine Garcin, Luther ; Reinaldo Macias, Spalanzani ; Paata Burchuladze, Crespel ; Christine Solosse, La Mère d’Antonia. Chœur de l’Opéra de Monte-Carlo (chef de chœur : Stefano Visconti). Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo, direction : Jacques Lacombe
2018-02-03 02:26:20
A l'occasion de son dernier récital parisien, Juan Diego Flórez avait fait goûter au public deux airs des Contes d'Hoffmann qui donnaient envie d'en entendre davantage. Pour cette prise de rôle, le ténor péruvien offre un chant racé et stylé, d'une superbe musicalité, avec un phrasé admirable, témoignage de l'école belcantiste. L'aigu est toujours aussi lumineux, avec un superbe contre-ut à la fin de l'air de Kleinzach (ceci dit, autrefois, Alfredo Kraus en rajoutait encore plus). Malgré la petite taille de la salle, le medium reste toutefois en deçà de ce qu'on est en droit d’attendre d'un rôle qui demande aussi une bonne assise de voix dans la partie centrale. Dans les ensembles, Flórez peine ainsi quelque peu à se faire entendre. On a parfois reproché au chanteur une attitude légèrement compassée sur scène. Rien de cela en Hoffmann : la caractérisation reste très aristocratique (on est à mille lieues du poète […]
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