Orphée Langevin Vidéos
Dernière mise à jour
2024-04-27
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Detroit Symphony Langevin Moyse
This video was inspired by Amanda Blaikie (Detroit Symphony) when she was demonstrating the Langevin approach of practicing the articulation studies written by M. Moyse. It makes total sense because in order to have great staccato, we should at first aim for a beautiful sound while playing legato and then gradually go for the staccato while maintaining the quality! This (or any of this kind by Moyse) can and should be also practiced in the middle and high registers! (In order not to be bored, Amanda recommended practicing only an 8-bar-section with this method a day, so we can keep it interesting by choosing different sections each day!) I hope this video is helpful, I have other warm-up tips on my channel, thank you for subscribing! :) Follow Amanda's amazing NEW flute practice on insta: @amandablaikie.flute
Langevin Fumet Noël Gallon Marguerite Long Beethoven Orchestre National France 1928 1960 1972 1976 1989 1996
Claude Langevin est né à Angers en 1928. Attiré très tôt par ce qu'il appelle "la matière sonore" il entre dès sa prime jeunesse en musique comme on entre en religion. Il commence ses études musicales à Angers avec Raphaël Fumet,puis à Paris dans les classes de Noël Gallon et Pierre Lantier,professeurs au Conservatoire Supérieur de Paris,tout en suivant les cours de piano de l'Ecole Normale de Musique. Il devient l'élève de Marguerite Long qui le destine à la carrière de concertiste. Cependant,il choisit le difficile métier de compositeur et décide à trente ans de vivre à la campagne afin d'écrire une oeuvre directement inspirée par la nature. Claude Langevin habite ainsi depuis 1960 près de Joigny dans l'Yonne,une vieille demeure bourguignonne du 17ème siècle,que sa femme Simone,ancienne journaliste,a transformé en auberge,"La Fontaines aux Muses" à la Celle-Saint-Cyr. Au fil des années,cette maison est devenue un lieu de rencontre d'artistes internationaux. Il manifesta très tôt un engouement réel pour l'Europe des Citoyens. C'est ainsi qu'il écrira en 1976,à la demande du Land de Rhénanie Palatinat une Symphonie pour grand orchestre,dite "Europa Sinfonia". On doit également à Claude Langevin des oeuvres pour piano,dont l'Opus 1,une Rhapsodie dite "Le Chant des Ailes" dédiée à la mémoire des pilotes disparus,Mermoz et Saint-Exupéry,un Concerto pour piano et orchestre,une suite pour piano seul intitulée "Méditations Symphoniques",enregistrée par l'auteur. Il a écrit pour les voix des mélodies,une Messe Breve,pour solistes,choeurs,cuivres et percussion,un "Alleluia", un "Veni Creator",une "Entrée" pour orgue,un Requiem pour deux solistes et orchestre de chambre. Claude Langevin est également l'auteur d'une suite symphonique "Les Quatre Temps" dont une réduction a été faite pour quintette à vent,à la demande du Quintette à Vent de Paris,puis d'un quintette à cordes à deux violoncelles créé en 1972 et repris ensuite par le Sextuor à Cordes de l'Orchestre national de France. En 1989,et pour répondre aux voeux de la Commission des Communautés Européennes et de la Mission Française du Bicentenaire,était donnée en première mondiale la Symphonie "Liberté" au Festival de Wiltz au Luxembourg,festival placé sous le haut patronage de son Altesse Royale,Madame la Grande Duchesse Héritière Maria-Thérésa de Luxembourg. Cette oeuvre impressionnante pour orchestre symphonique,choeurs et deux soli,véritable rencontre de musiciens européens,était interprétée par un orchestre anglais,le Manchester Youth Orchestra,le Konzertchor Allemand de Darmstadt et deux solistes luxembourgeois. On doit également à Claude Langevin un très bel arrangement de l'"Ode à la Joie" de L. V. BEETHOVEN,Hymne européen pour les versions Orchestre symphonique,Orchestre d'harmonie et Fanfare,Orchestre à cordes,piano,avec choeurs facultatifs,tous d'une durée d'1 minute 26. Enfin, 1996 verra la création de trois nouvelles oeuvres du compositeur et leur enregistrement.
Gilles Tremblay Langevin 1932 1985 2017
Triojubilus (1985) Gilles Tremblay +••.••(...)) flûte, harpe et percussions Trio puisqu’il y a trois exécutants, jubilus parce que ce mot a la même racine que joie. En chant grégorien, ce mot désigne la grande vocalise ornementale sur une seule syllabe. Le début de l’Alléluia de la nativité étant cité en exergue, l’œuvre en devient ainsi le jubilus. Écrit essentiellement pour fêter une naissance, celle de Raphaël qui en est le dédicataire. En voici les points saillants. Le solo initial de la flûte explore le silence, organisant son espace comme la vie qui fuse, variée, imprévisible, en de multiples éléments (mélismes, la note Si, des groupes d’intervalles complémentaires alternés, éclats de glissandi, un réseau de tierces mineures, une séquence métrique). Appel par le vide (à l’entrée de la harpe) produit par deux fondamentales convergeant vers un même son virtuel non manifesté. Jaillissement I, jubilatoire. Séquence pianissimo et cursive, commentaire conduit par les cloches à vache, préludant à un Concert formé d’une série de carillons rapides, entrecoupés de commentaires (éclats, intervalles complémentaires alternés, séquence de la harpe) et développés dans différents registres. Ils sont fondés sur un réseau de tritons, issus du solo de flûte. Jaillissement II en un grand mobile. Double avec commentaires et réflexes. Jaillissement III, mystérieusement doux et allusif, avec harmoniques d’embouchure (whistle tones) et sons multiphoniques. Robert Langevin, flûte Nathalie Teevin, harpe Marie-Josée Simard, percussion
ou
- chronologie: Artistes lyriques.
- Index (par ordre alphabétique): L...