Mary Dunleavy Actualités
artiste lyrique, musicien ou musicienne
- soprano
- États-Unis
Dernière mise à jour
2024-04-20
Actualiser
2018-06-24 07:18:01
[…] Le second tableau se déroule dans une amusante gare stylisée (très jolis décors et costumes de Giles Cadle) où les suffragettes brandissent des pancartes, et où le non-sens britannique rejoint celui des Deschiens avec un explorateur (Dr Livingstone, I presume ?) qui tire les pigeons dans la gare. Mais finalement le domaine bourgeois reprend ses droits avec l’intérieur classique d’Alice Ford et la joyeuse bacchanale finale dans la forêt au milieu des elfes. Mary Dunleavy (Alice Ford) et Henry Waddington (Falstaff) © Photo Clive Barda/Garsington Opera Plus fouillée encore est la caractérisation de chaque personnage, plus proche du théâtre shakespearien que de l’opéra traditionnel. Falstaff n’est pas le bravache vulgaire et tonitruant comme on en a vu beaucoup, et pas seulement l’escroc à la petite semaine que l’on sait, mais un homme simple aux prises avec son âge et son propre vieillissement, tentant de se convaincre malgré tout des […]
2018-04-17 14:35:32
Henry Waddington, que l’on n’avait pas pu entendre à Paris dans Miranda à l’automne dernier, va chanter dès le mois de juin son premier Falstaff au festival de Garsington. Il y sera accompagné par le Philharmonia Orchestra dirigé par Richard Farnes, avec pour partenaire Mary Dunleavy (Alice Ford). La saison comprend par ailleurs Die Zauberflöte, Capriccio sous la direction de Douglas Boyd, en collaboration avec le Santa Fe Opera (rôle titre chanté par la soprano suédoise Miah Persson), et une création, The Skating Ring, de David Sawer & Rory Mullarkey d’après le roman de Roberto Bolaño, sous la direction de Garry Walker. C'est ainsi que Garsington, l’un des « Trois G » en terme de festival d’été anglais (avec Glyndebourne et Grange Park) continue d’asseoir sa notoriété construite sur un programme soigné.
2012-05-23 23:53:25
Faust à Montréal, de père en fils
[…] pas déçus. La voix de la basse russe incarne à merveille le diable. Présence captivante sur scène, sa performance atteint des sommets dans ses deux airs, dont celui du Veau d’or. Il ne lui manque rien, pas même l’odeur de soufre qui sied au démon. Une diction correcte, un bon phrasé, une grande voix mais souple, ample et capable de nuances. Il a toutes les qualités requises pour tenir les rôles diaboliques. La soprano Mary Dunleavy se situe presqu’au même diapason. C’est une merveilleuse Marguerite. Elle a la voix mais aussi le physique du rôle. Belle présence sur scène, très impliquée, elle vit son personnage. Étienne Dupuis campe un Valentin tout en bois brut, voix solide, tempérament de feu. Le timbre de mezzo d’Emma Parkinson dans le rôle de Siébel est fort agréable. Tous les seconds rôles sont corrects. Dame Marthe de Noëlla Huet mérite une mention. Les chœurs de […]
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- chronologie: Artistes lyriques (Amérique du Nord). Interprètes (Amérique du Nord).
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