Kenneth Tse Actualités
musicien américain
- saxophone
- musique classique
- États-Unis
- saxophoniste
Dernière mise à jour
2024-05-02
Actualiser
2020-11-09 05:11:22
[…] l’ambition pharaonique l’ensemble des influences – notamment wagnériennes – du compositeur américain. L’orchestre sert parfois de commentaire métatextuel, apprenant aux oreilles ce que les yeux ne voient pas, comme – par exemple – la nostalgie du Président des Etats-Unis, enfant pauvre et chétif, alors que surgissent dans la partition quelques notes de jazz des années 30. L’œuvre – assemblage d’airs et d’ensembles – laisse dans l’oreille quelques moments spectaculaires, comme par exemple « I am the wife of Mao Tse-tung », devenu une pièce de concours au même titre que l’air du Feu de l’Enfant et les Sortilèges. Il est à noter, enfin, qu’aucun des protagonistes chinois, lors de la reprise de 2011 au Metropolitan Opera, n’étaient incarnés par des chinois. Voilà de nouveaux débats en vue pour Peter Gelb. [Camille De Rijck] 2. Thomas Ades : The Tempest (2004) Et Dieu créa Thomas Adès. Après l'immense succès de Powder her face, […]
2018-12-11 04:00:17
[…] faire Charles Hart sur la suggestion de Jürgen R. Weber. Avec un résultat bien moins sérieux que ses confrères américains, Jonathan Dove n’en écrit pas moins une musique souvent proche de la leur, de John Adams en particulier : quand la fille de Karl Marx entonne son air « My father is… », avec sa pulsation obstinée, ses phrases coupées et répétées, et ses envolées dans l’aigu, on pense par exemple à « I am the wife of Mao Tse-Tung » dans Nixon in China, impression que confirmeront par la suite les superbes pages destinées au chœur (notamment l’impressionnant « Awake, Karl Marx », vers la fin du premier acte, interprété avec force par le chœur du Theater Bonn), même si l’on savait déjà, grâce au Monstre du labyrinthe, combien l’écriture chorale réussit à Dove. Ceux qui connaissent Flight, l’opéra qui lui a valu la célébrité, savent que la comédie lui va aussi fort bien, et c’est […]
2018-07-27 19:49:00
Tan Dun, Guo Wenjing, Xu Shuya, trois compositeurs chinois révélés en France par le Festival d’Automne à Paris en 1995
Chine, musicien de rue. Photo : DR En 1995, le Festival d’Automne à Paris consacrait une partie de sa programmation musicale à la musique contemporaine chinoise. Avaient notamment été invité trois compositeurs trentenaires qui commençaient à être reconnus en Occident et ayant choisi d’y vivre tout en gardant leur nationalité. Depuis lors, chacun a évolué à sa façon, empruntant leur propre chemin. Violoncelliste de formation, Xu Shuya (né en 1961), est aujourd’hui professeur de composition et a fondé le Centre Informatique et Multimédia au Conservatoire de Musique de Chine à Pékin en 2002. Ses deux opéras, La neige en août sur un livret de Gao Xingijan en trois actes, a été créé avec succès à l’Opéra de Marseille en janvier 2005, le second, In Memory of Taiping Lake sur un livret en deux actes de Zeng Li, a été donné pour la première fois par le Festival International de […]
ou
- chronologie: Interprètes (Amérique du Nord).
- Index (par ordre alphabétique): T...