Ismaël Margain Actualités
Dernière mise à jour
2024-04-17
Actualiser
2023-11-09 17:42:06
CRITIQUE, concert. MARSEILLE, Théâtre national de la Criée, le 6 novembre 2023. POULENC : œuvres vocales et instrumentales. I. Margain (piano), J. Hurel (flûte), A. Viduvier (clarinette), A. Descotte (hautbois), Dame Felicity Lott (soprano), F. Morel (récitant) / Olivier Bellamy (présentation).
Si la ville de Marseille ne possède pas la riche offre musicale de Lyon, c’est sans compter sur la précieuse contribution de Marseille Concerts, association fondée en 1986 à l’initiative de Marcel Paoli, adjoint à la culture de Jean-Claude Gaudin à l’époque, et de Jean-Robert Cain, son premier président. Aujourd’hui, c’est Karine Fouchet qui préside […]
2023-10-17 15:08:00
Consacré au piano dans tous ses états, le Festival Pianoscope de Beauvais 2023 a réuni de jeunes musiciens autour de Thomas Enhco
[…] des personnalités qui se succèdent. L’édition 2023, qui s’est tenue le week-end dernier, a été confiée au jeune pianiste polymorphe Thomas Enhco, qui, à 35 ans, s’exprime autant comme pianiste classique et jazz qu’en tant que compositeur improvisateur. Petit-fils du chef d’orchestre fondateur de l’Orchestre national de Lille Jean-Claude Casadesus, Thomas Enhco a élaboré un programme essentiellement pianistique, avec beaucoup de jazz, d’improvisations et des œuvres de musique classique, du récital au concert avec orchestre.Ismaël Margain. Photo : (c) Bruno SerrouOuvert vendredi sur un duo marimba et piano associant le directeur artistique de l’édition et la percussionniste Vassilena Serafimova autour de Jean-Sébastien Bach, le Festival Pianoscope de Beauvais 2023 s’est essentiellement déployé sur deux journées, samedi et dimanche, à raison de trois concerts par jour mêlés de conférences et de rendez-vous pédagogiques. Le premier concert était un « récital découverte » offert à un jeune pianiste « compositeur », Jean Saint Loubert Bié, dont […]
2022-07-23 08:18:22
[…] (1811-1886) : « Oh ! quand je dors ». Ernest Chausson (1855-1899) : « Chanson perpétuelle ». Georges Bizet (1838-1875) : « Adieux de l’hôtesse arabe ». Henri Duparc (1848-1933) : « Chanson triste ». Gioachino Rossini (1792-1868) : extrait d’Otello « Assis’a pié d’un salice ». Manuel de Falla (1876-1946) : « Psyché ». Reynaldo Hahn (1874-1947) : « A Chloris ». Julius Bénédict (1804-1885) « La capinera ». Ambroisine Bré, mezzo-soprano ; Ismaël Margain, piano ; Mathide Calderini, flûte ; Anaïs Gaudemard, harpe ; Julien Dran, ténor ; Gérard Depardieu, récitant ; Quatuor Hanson. 1 CD Grande Ourse. Enregistré Salle Colonne. Durée : 60:14 L’article est apparu en premier sur ResMusica.
2022-05-02 09:30:46
[…] ici est clair-obscur, timbres discrets, moirures. Témoin, l’arrangement de la Chanson perpétuelle, dont les entrelacs délicats sont presque plus éloquents que l’usuelle masse orchestrale, et où la voix peut oser des inflexions que l’orchestre interdit. On pourrait souligner des réussites particulières, où la chanteuse ose des effacements, des accents d’une délicieuse sensibilité, comme dans Oh quand je dors, dont l’attaque même est comme un soupir, et où les pianissimi sont comme autant de frissons (Ismaël Margain détaille sa partie avec une empathie géniale) ; ou bien encore la ballade du Saule de l’Otello de Rossini, moins chanson qu’incantation dans la simple nudité du timbre. L’emporte cependant le cousu main de l’ensemble, ce sentiment que de chaque moment est tiré la juste expression, avec toujours un sérieux, une grâce, une foi dans le projet lui-même, qui impressionnent, et ne diluent pas la volupté que distille l'ensemble. L'enfant d'Eros et Psyché ne s'appela-t-il […]