Hermann Leopoldi Actualités
compositeur, chanteur et pianiste
- Autriche
- compositeur ou compositrice, pianiste
Dernière mise à jour
2024-04-29
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2020-02-04 23:00:31
[…] plutôt bien, contrairement à 2015 où il était seul en scène). Le public est tout à fait conquis, à tel point que d’aucuns ne peuvent s’empêcher de murmurer « Lippen schweigen »… © Festspielhaus Baden-Baden Au terme du récital, Jonas Kaufmann nous offre pas moins de cinq rappels. Après tout, c’est la fin de la série et le ténor semble très détendu et à l’aise. Il commence par « In einem kleinen Café in Hernals » de Leopoldi, où il nous fait également profiter de ses talents de siffleur. Son parlar cantando évoque les performances des grandes figures du théâtre viennois (on pense notamment à Helmut Lohner en Froch dans Die Fledermaus). Accompagné du chef Jochen Rieder au piano, le ténor s’en donne à cœur joie avec « Der Tod, das muss ein Wiener sein » de Kreisler, où il est question de la Mort, qui doit être Viennoise, où l’on égratigne gentiment les […]
2020-01-20 23:31:37
[…] ne pesait pas sur l’ensemble des morceaux. Cela accentuait malgré tout l'impression d'un orchestre très en retrait : dirigé par Jochen Rieder, le PKF-Prague Philharmonia maîtrisait certes son sujet, mais manquait d’inspiration. C’est d’autant plus dommage que de nombreuses pages orchestrales lui laissaient l’occasion de briller. Bien évidemment, c'est Jonas Kaufmann qui clôt ce concert avec deux bis : « Heut ist der schönste Tag in meinem Leben » d’Hans May et « In einem kleinen Café in Hernals » d’Hermann Leopoldi. Vienne, Vienne et encore Vienne... mais en bonne compagnie.
2019-08-06 05:58:44
[…] fauteuils en cuir patiné, le style feutré du pianiste Jean-Efflam Bavouzet, le déhanché du contrebassiste Stéphane Logerot, le son dense du violoncelliste Maksim Velichkin, les percussions film noir d’Ian Sullivan, les inflexions décontractées du clarinettiste Petr Vašek, et bien sûr le dynamisme envoûtant de Daniel Hope, créent un vent de folie dans cette bande-son de morceaux rebelles et chahuteurs, en regard des événements qui les entourent. Maurice Ravel côtoie Kurt Weill et Hanns Eisler, Hermann Leopoldi et Benny Goodman résonnent avec Otto Weissert et Erwin Shulhoff. La voix cassée du conteur Horst Maria Merz sied à merveille à ce répertoire charbonneux, dans un rôle de barde souriant. Thomas Hampson, au contraire, possède le physique moins mobile de la menace qui pèse. Et si le chant populaire, peu vibré et avec moins de contrôle, n’atteint pas l’intensité de son comparse, la créativité des timbres séduit. Le chant audacieux se repose sur […]
2019-07-18 09:00:27
[…] Sievering » Robert Stolz, « Wien wird schön erst bei Nacht » Rudolf Sieczynski, « Wien, Du Stadt meiner Träume (Wien, Wien, nur Du allein) » Ralph Benatzky, « Ich muss wieder einmal in Grinzing sein » Robert Stolz, « Im Prater blüh‘n wieder die Bäume » Peter Kreuder, « Sag zum Abschied leise Servus » Hans May, « Heut ist der schönste Tag » Hans May, « Es wird im Leben » Hermann Leopoldi, « In einem kleinen Café in Hernals » Georg Kreisler, « Der Tod, das muss ein Wiener sein »
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