Harold Josiah Crosby Actualités
compositeur
- États-Unis
Dernière mise à jour
2024-04-27
Actualiser
2020-12-25 06:00:25
[…] 5. Montserrat Caballé et Montserrat Marti, White Christmas Dans un subtil et délicat récital à deux voix intitulé « Unsere Weihnachtslieder », sorti en 1996, Montserrat et Montserrat mère et fille, ont fondu à gorges déployées sur les plus grands tubes de Noël. Le pauvre Irving Berlin et son incontournable White Christmas ne pouvait y échapper, dans une reprise légèrement moins sotto voce, mais encore plus suave, que celles de Frank Sinatra ou de Bing Crosby. Il y a plus du sucre que de fruit : en fin de soirée, sur un Sauterne, ça envoie tout le monde au lit avec une redoutable efficacité ! 6. Jonas Kaufmann, All I want for Christmas Immense artiste, dont le Lohengrin, le Werther, le Florestan, l'Otello ou la Belle Meunière sont de ces interprétations qui marquent à vie nos mémoires de mélomanes, Jonas Kaufmann ne saurait nous en vouloir de relever […]
2020-10-28 05:01:50
[…] palais, et ça changerait la sonorité. Le micro a permis aux chanteurs de chanter comme ils parlent, ce qui était impossible auparavant. Entendons-nous : ça ne remplace pas, ça ajoute une possibilité. Quand Jean Sablon a commencé à chanter avec un micro dans les années trente, il s’est fait huer par les spectateurs du promenoir… Oui, il essayait de ne pas du tout projeter la voix. Si vous écoutez les premiers enregistrements de Bing Crosby, au même moment, vous verrez qu’il se souvenait de sa formation de chanteur quasi lyrique, et qu’il ne maitrisait pas encore bien le micro, il enveloppait beaucoup. Pareil pour Sinatra à ses débuts, c’était encore « enrobé », si je puis dire, il avait encore une partie de l’amplificateur à l’intérieur de lui, il fabriquait un son amplifié [ici, exemple sonore… All or nothing at all] et quinze ans plus tard il abandonne complètement […]
2016-08-10 19:22:51
[…] les œuvres que l'on entend (symphonies en plusieurs mouvements…) sont particulièrement formelles comparées aux œuvres contemporaines occidentales où la tonalité explose, où le genre devient de plus en plus libre et indéterminé. Et cela se trouve compensé par une complexification accrue des développements et des harmonies, extrêmement difficiles à suivre, même pour le mélomane aguerri – alors pour ce qui est de se mettre au service du prolétaire et concurrencer les productions décadentes de Bill Crosby, Connie Francis ou Doris Day, pas gagné. Khrennikov, le bon soldat et le mauvais voisin, est celui qui place le plus de réminiscences populaires, dans ses compositions, mais comme les autres, elles se caractérisent avant tout par des mélodies sinueuses et déceptives, impossibles à mémoriser ou à reproduire spontanément, et qui refusent de culminer dans des émotions franches, toujours poisseuses d'une façon ou d'une autre. […]
2016-08-04 23:14:32
[…] [[]] Dennis Morgan est un ténor évident, parfois qualifié comme tel par les biographes, et doté d'une émission très solide, avec une homogénéité parfaite et un passage totalement domestiqué, tout à fait inaudible, comme chez les plus grands. [[]] Mais quelle est donc cette pianiste qui chante si bien ? Même dans le cas de Bill Crosby (qui, favorisant son grave, serait moins audible avec orchestre et sans amplification), on entend très bien la recherche d'auto-amplification et le goût du fondu, caractéristiques de la technique lyrique – même si, évidemment, il développe aussi d'autres caractéristiques, en privilégiant la qualité du timbre sur la puissance, étant amplifié. Même chez Lucienne Boyer, la glorieuse mère de Jacqueline, on entend très bien cette charpente particulière, commune aux deux univers. […]
ou
- chronologie: Compositeurs (Amérique du Nord).
- Index (par ordre alphabétique): C...