Emmanuel Lafarge Actualités
artiste lyrique
- ténor
Dernière mise à jour
2024-04-23
Actualiser
2020-11-30 03:12:01
Oscar Strauss (1870-1954) : Trois valses. Guy Lafarge (1904-1990) : Dans les bois (transcription par G. Ghestem et G. Tzipine). Nikolaï Rimsky-Korsakov (1844-1908) : Chant indou. Francis Salabert (1884-1946) : Fantaisie sur des thèmes de Franz Schubert. Eric Coates (1886-1957) : Les Oiseaux dans le soir (transcription par G. Ghestem et G. Tzipine). Robert Planquette (1848-1903) : Les Cloches de Corneville (transcription par F. Jeanjean). Frédéric Chopin (1810-1849) : Étude op. 10 n° 3 (transcription par G. Ghestem). Jacques Offenbach (1819-1880) : Orphée aux enfers. Paul Misraki (1908-1998) : Dans mon cœur (transcription par G. Ghestem et G. Tzipine). Joëguy : Le Carillonneur de Bruges (transcription par G. Ghestem et G. Tzipine). Maurice Ravel (1875-1937) : Boléro. Edvard Grieg (1843-1907) : Chanson de Solveig (transcription par G. Ghestem et G. Tzipine). Franz von Vecsey (1893-1935) : Chanson du souvenir (arrangement de la « Valse triste », transcription par G. Ghestem et […]
2020-10-01 14:37:06
Une invitation au Gaumont Palace en 1939, avec son orgue de cinéma et son orchestre
Oscar STRAUS (1870-1954) : Trois Valses, pour orchestre et orgue. Guy Lafarge (1904-1990) : Dans le bois, pour orgue et violon, arrangement Ghestem /Tzipine. Nikolaï RIMSKY-KORSAKOV (1844-1908) : Chant indou, pour orgue et violon, arrangement Ghestem/Tzipine. Franz SCHUBERT (1797-1828) : Fantaisie sur […]
2015-04-09 07:00:00
2014-04-02 13:27:23
Le petit Requiem de Fauré est grand à la Grange au lac
[…] discours fauréen. S’il est à son minimum au plan de l’effectif, c’est tout l’inverse au plan du résultat ! Passant sans problème (bien au contraire) au-dessus de l’orchestre, c’est un enchantement de voix ivres d’elles-mêmes (les ténors !), toutes accordées à la geste délicate et parfaitement lisible de Bernard Tétu. La voix de Jacques Bona , sans aucun soupçon d’emphase, est celle qui convient à la déploration sobre de ses interventions. Celle de Cécile Dibon Lafarge émeut de même sans affectation avec l’évidence bienvenue d’un timbre sur le fil de l’enfance. La pâte orchestrale est d’une subtilité remarquable, avec des attaques de cordes d’une grande précision. Un seul violon au moment du Sanctus dans cette version originale, mais quel ductilité, quel hédonisme sonore dans le phrasé de Nathalie Geoffray-Canasevio ! Ce qui enchante sans discontinuer, ce sont les interventions de l’orgue, parfaitement intégrées à la pâte orchestrale, pour les nombreux […]
ou
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