Dorothea Röschmann Actualités
chanteuse soprano allemande
- soprano
- opéra
- Allemagne
- artiste lyrique, musicien ou musicienne
streaming
Dernière mise à jour
2024-03-29
Actualiser
2023-11-12 03:49:58
Munich. Nationaltheater. 9-XI-2023. Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) : Le Nozze di Figaro, opéra sur un livret de Lorenzo da Ponte d'après Beaumarchais. Mise en scène : Evgeny Titov ; décors et costumes : Annemarie Woods. Avec Huw Montague Rendall (Il Conte), Elsa Dreisig (La Contessa), Louise Alder (Susanna), Konstantin Krimmel (Figaro), Avery Amereau (Cherubino), Dorothea Röschmann (Marcellina), Willard White (Bartolo), Eirin Rognerud (Barbarina), Martin Snell (Antonio). Chœur de l'Opéra national de Bavière, Bayerisches Staatsorchester ; direction : Stefano Montanari. L’article est apparu en premier sur ResMusica.
2022-03-21 05:34:48
Chez Mozart, elle a été Susanna et la Comtesse, Servillia et Vitellia, Donna Elvira et, plus récemment, Marcellina sur la scène du Palais Garnier. Mais Dorothea Röschmann est aussi, depuis plus de trois décennies, une de nos plus distinguées Liedersängerin, qui ne néglige pas pour autant Verdi, Strauss, et le répertoire italien. Rencontre avec une artiste qui se définit elle-même comme une « avide de chant ». Comme beaucoup de chanteurs, notamment allemands, vous avez débuté dans un chœur, le Flensburg Bach Choir. Comment y êtes-vous entrée ? Mon père chantait dans ce chœur, ainsi que ma mère et ma sœur. J’ai vraiment dû attendre jusqu’à mes six ans pour intégrer le chœur d’enfants. Les enfants chantaient des chorals tandis que le chœur d’adultes interprétait des cantates, les Passions de Bach, etc. A 12 ans j’ai pu intégrer le chœur d’adultes à l’occasion d’une tournée en Pologne, puis j’ai commencé à […]
2022-02-05 20:17:00
[…] de toute entrave dans son récitatif et air du troisième acte « Hai giàvinta la causa ?... Vedrò mentr’io sospiro » pour lequel il a la bonne idée de retirer son masque, profitant du fait qu’il est seul en scène. Ce qui n’est jamais le cas de Maria Berngtsson, masquée du début à la fin, quelle que soit sa situation, entourée ou solitaire dans sa loge, si bien qu’elle est continuellement inaudible et incompréhensible. A l’instar de Dorothea Röschmann en Marcelline, et James Creswell en Bartolo, tandis que Christophe Mortagne, qui campe les rôles de Basilio et de Curzio, se bat avec la justesse. Luca Pisaroni est un Figaro trop discret et falot, tandis que Ying Fang est une Suzanne rayonnante et Léa Desardes est un Cherubino déluré et entreprenant. Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791), Le Nozze di Figaro. Ying Fang (Suzanne), Maria Bengtsson (la Comtesse). Photo : (c) Vincent Pontet Mais là […]
2022-02-02 09:30:00
[…] qualité de la présentation : on aime ou pas la proposition de Netia Jones (ni innovante, ni très vivante), on apprécie ou non le geste classique de Gustavo Dudamel, loin des versions baroquement informées mais toujours théâtral, et on peut se réjouir de découvrir de nouvelles voix sur la première scène nationale, Ying Fang notamment, excellente Susanna pétulante à la voix charnue. Passons sur le Basilio faux une note sur deux de Christophe Mortagne, c’est surtout l’arrivée en masque FFP2 de Dorothea Röschmann (Marcellina) et James Creswell (Bartolo) qui jette un froid. Lui, belle voix que l’on sent puissante s’étouffe dans la partie rapide de son air, elle passe son temps à pincer le masque pour émettre ses notes. Au deuxième acte, Maria Bengtsson, pourtant seule dans sa loge comme le veut la mise en scène, est masquée, elle aussi : inaudible, en difficulté sur le souffle, « Porgi amor » est un douloureux moment. A son arrivée en scène, Christopher Maltman […]
ou
- chronologie: Artistes lyriques (Europe). Interprètes (Europe).
- Index (par ordre alphabétique): R...