Constantin Nicolay Actualités
artiste lyrique grec
- baryton-basse
- Grèce
- artiste lyrique, enseignant ou enseignante
Dernière mise à jour
2024-05-06
Actualiser
2018-01-18 06:36:50
[…] donne pas froid dans le dos, et n’est pas non plus la rondeur que l’on voit parfois. Il émaille tous ses textes de mots en français à la limite du compréhensible… Mais il utilise fort bien la voix de tête, et fait des nuances subtiles. Le rôle de Basilio est-il plus facile ? Gabriele Sagona, d’une belle voix de basse, s’en sort honorablement, quoiqu’en s’agitant beaucoup trop. On note la voix agréable du Fiorello de Nicolay Bachev, et une Berta (Roberta Mattelli) trop terne, avec un plumeau bien dérisoire, et une voix bien vieillie. Catastrophique ? Non, pas du tout, c’est ce que l’on appelle une honnête représentation de troupe, à laquelle une part du public a pris quelque plaisir. Mais ce n’est pas une représentation du niveau de l’opéra de Massy – Opéra 2001 nous avait habitués à mieux –, et d’ailleurs, en fin de spectacle, la sortie du public […]
2016-06-09 11:41:00
[…] Chœur de chambre de Namur et de l'orchestre Milenium, Alarcon a livré du Requiem une interprétation poignante, d'une grande intensité dramatique, en mettant particulièrement bien en valeur les contrastes dynamiques et la richesse polyphonique de la partition. Et puis, comme autant de moments de grâce entre deux passages orchestraux et choraux, la magie du Bel canto, bien sûr, superbement incarnée par les cinq solistes (Giuseppina Bridelli, mezzo, Francesca Aspromonte, soprano, Fabio Trümpy, tenor, Nicolay Borchev et Philippe Favette, basses).
2015-06-16 07:02:47
DVD, compte rendu critique. Mozart : La Finta Giardiniera (Haïm, 2014)
[…] (Enea Scala, vrai ténor agile) mais avant leurs retrouvailles, c’est toute une géographie des coeurs (avec le coup de théâtre à la fin du II) où les êtres se révèlent et se dévoilent à eux-mêmes et aux autres qui transporte et emporte les couples destinés à s’unir finalement autour des deux protagonistes : Arminda (Marie-Adeline Henry, maîtresse dominatrice) et Ramiro (effervescente Marie-Calude Chappuis), Serpetta (Maria Savastano, un rien elle aussi agitée) et Nardo / Roberto (Nicolay Borchev, flexible et sombre)… Seul le podestat (pétillant et subtil Carlo allemano) reste célibataire mais il jure de se marier très vite avec une jardinière aussi avenante… Inspirée par la tenue scénique et les trouvailles très justes du metteur en scène, la direction d’Emmanelle Haïm semble revitalisée dans la finesse comme l’expressivité. Poésie, justesse, humanité sensible et collectif idéalement canalisé : que demander de mieux ? C’est Mozart qui gagne ici et son […]
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- chronologie: Artistes lyriques (Europe).
- Index (par ordre alphabétique): N...