Dernière mise à jour
2024-04-30
Actualiser
2021-12-21 13:27:08
Cap 2022 : l'agenda de tous les spectacles que vous n'espériez pas même voir (et qui seront de toute façon pour moitié annulés)
A. L'an 2022 (quoi de beau quoi de neuf) ► Vous êtes heureux d'avoir survécu à 2020 ? ► Extatiques d'avoir eu la permission de recommencer (un peu) à vivre en 2021 ? ►► Préparez-vous à exploser de bonheur : voici le programme des festivités en 2022 ! Bien plus complet que Cadences (et mieux calibré pour vos goûts que l'Offi), voici le glorieux agenda de Carnets sur sol ! Il sera enrichi au fil des semaines, mais les grandes salles et quelques chouchoutes (Athénée, conservatoires…) ont été remplies jusqu'à la mi-mars. Comme je suis seul à le constituer, le relevé est bien sûr partiel et subjectif (je relève en priorité ce qui peut m'intéresser…), mais tout de même assez vaste. De quoi vous donner, je n'en doute pas, grands fous que vous êtes, des idées à travers […]
2019-11-13 02:17:26
Clermont-Ferrand. Basilique Notre Dame du Port. 29-X-2019. Betsy Jolas (née en 1926) : Episode quatrième pour saxophone ; J’ignore où cela commence et Dans l’obscurité sourde, extrait de De nuit, deux chants à voix seule. Boris Clouteau (né en 1971) : Et puis plus rien, pour trois voix de femmes et saxophone alto. Guilhem Lacroux (né en 1974) : Sator arepo TENET opera rotas pour voix seule. Hildegard von Bingen (1098-1179) : Favus distillans ; Aer enim volat. Sophie Lacaze (né en 1963) : Je vois passer l’ange pour trois voix de femmes et saxophones alto. Caroline Marçot (né en 1974) : Cantar del alma pour trois voix de femmes. Luigi Nono (1924-1990) : Djamila boupacha pour soprano solo. Anonymes : Audi filia et Afferentur, du Graduel d’Albi, office à Sainte Cécile, IXe siècle. Michel Supéra, saxophones. Ensemble vocal féminin Mora Vocis Auditorium du CRR. 30-X-2019. Betsy Jolas (née en 1926) : Quatre pièces en marge pour violoncelle et piano ; Toi […]
2019-10-18 04:00:22
Pour reprendre la question posée aux suivantes de la reine d’Egypte par les hommes qui pénétrèrent dans son tombeau, selon Plutarque comme selon Shakespeare, on pourrait se demander, après avoir assisté à la version de concert de la Cléopâtre de Massenet salle Cortot, si l’exécution en fut belle et digne d’une princesse issue de tant de rois illustres. Vouloir présenter Cléopâtre à Paris est une bonne idée, dans la mesure où l’œuvre n’y a guère été entendue : montée en 1919 (cinq ans après la première mondiale à Monte-Carlo), elle n’y est revenue qu’en 2014. Ultime œuvre de Massenet, elle n’a jamais pu s’imposer, seul l’air « J’ai versé le poison » bénéficiant d’une relative notoriété. Cet opéra a pourtant un autre titre de gloire, du fait de son instrumentarium : pour le deuxième tableau du deuxième acte, le maître stéphanois fait appel à dix darboukas, soit une incursion dans un univers sonore aussi […]