Dernière mise à jour
2024-03-25
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2022-08-22 06:59:00
Bagnères-de-Bigorre. Halle aux Grains. 13-VIII-2022. Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) : « Cinque…dieci…venti… » extrait des « Noces de Figaro ». Gaetano Donizetti (1797-1848) : « Una furtiva lagrima » et « Obbligato, ah si ! Obbligato ! » extrait de « L’Elixir d’amour ». Georges Bizet (1838-1875) : « Quand la flamme de l’amour » extrait de « La jolie fille de Perth » ; « Leila, Leila… ton cœur n’a pas compris le mien » extrait des « Pêcheurs de perles » ; « L’amour est un oiseau rebelle », « La fleur que tu m’avais jetée », « Air d’Escamillo » extrait de « Carmen ». Charles Gounod (1818-1893) : « Ah ! Lève-toi soleil », « Ange adorable » extrait de « Roméo et Juliette ». Jules Massenet (1842-1912) : « Suis-je gentille ainsi » extrait de « Manon » ; « Pourquoi me réveiller ? » […]
2022-01-20 05:00:00
Il y a un mois, Roberto Alagna régalait les spectateurs de la Salle Gaveau avec un concert éblouissant consacré aux personnages de théâtre. Le ténor nous revient à l’UNESCO dans une forme tout aussi remarquable, et dans un programme presque totalement différent balayant quatre siècles d’opéra. Les onze pages sont d’ailleurs pratiquement données dans l’ordre de leur composition, en commençant par « Ogne pena cchiù spiatata » extrait du Frate 'nnamorato (1732). L’air est habituellement dévolu à un soprano mais couramment défendu par d’autres typologies vocales. Roberto Alagna chante ici la version originale en napolitain, et non la version italienne habituelle « Ogni pena più spietata ». « Du moment qu'on aime », extrait du Zémire et Azor de Grétry (1771 : une variation sur La Belle et la Bête) nous permet d’apprécier l’impeccable diction du chanteur français, parfaitement compréhensible dans toutes ses inflexions. « Vainement Pharaon », extrait du Joseph en Égypte de […]
2021-04-13 02:23:33
Berlin et Malte.04-IV-2021. Georg Friedrich Händel (1685-1759) : symphonie pastorale du Messie ; Joseph Vella (1942-2018) : Kebbies tal-Fanali ; Giacomo Puccini (1858-1924) : Tosca « Recondita Armonia » ; Piotr Ilitch Tchaïkovski (1840-1893) : Niet tolka tot kto znall ; Francesco Paolo Tosti (1846-1916) : Ideale ; Annunzio Mantovani (1905-1980) : Charmaine ; Wolfgang Amadeus Mozart : die Zauberflöte « Dies Bildnis ist bezaubernd schön » ; Agustin Lara (1897-1970) : Granada ; Eduardo di Capua (1865-1917) : O Sole Mio ; Louiguy (1916-1991) : La Vie en Rose ; Jean-Sébastien Bach (1685-1750) : premier mouvement de la sonate en la mineur BWV 1017. Avec : Joseph Calleja, ténor ; Daniel Hope, violon ; Maria-Elena Farrugia, Alina Pronina, piano Concert sans public diffusé sur ArteTV L’article est apparu en premier sur ResMusica.
2019-08-11 10:29:14
Français - La Vie en rosé avec Joseph Calleja à Peralada
Au sortir de son Mario aixois (Alain Duault a rendu compte de cette Tosca dans nos colonnes), le ténor maltais Joseph Calleja se produit (pour la première fois) au Festival de Castell Peralada, avec un programme (assez consacré) d’airs opératiques en première partie, puis de Mélodies de tout horizon dans la deuxième. Comment ne pas être frappé, dès le premier air qu’il délivre, « Pourquoi me réveiller ? » extrait de Werther de Jules Massenet, par l’évolution de la voix, désormais si large et sonore (sans doute trop pour la petite Eglise du Carmen de Peralada, d'autant que l’acoustique y est très réverbérante), alors qu’on l’avait découvert, à ses tout débuts, comme tenore di grazia, avant qu’il n’aborde des emplois plus lyriques. L’écoute de l’air de Mario qui suit « E lucevan le stelle » confirme que c’est même vers des emplois de ténor dramatique qu’il peut maintenant se tourner… […]