Dernière mise à jour
2024-05-01
Actualiser
2023-08-20 18:20:52
Paul Hindemith (1895-1933) : Cardillac. Juliane Banse, soprano ; Michaela Selinger, soprano ; Torsten Kerl, ténor ; Oliver Ringelhahn, ténor ; Markus Eiche, baryton ; Jan-Hendrik Rootering, basse. Prague Philharmonic Choir, Münchner Rundfunkorchester, Stefan Soltész. 2013. […]
2021-07-27 03:30:47
[…] de Néron, de Simon Mago ou de Fanuèl. Quelques lignes de chant évoquent Verdi, notamment dans certains duos, et même Tannhäuser n’est pas vraiment loin, surtout dans son approche d’un conflit entre paganisme et christianisme, non plus que Parsifal. Mais au total il manque les grands airs « à la Verdi » ou une véritable continuité à la Puccini. © Bregenzer Festspiele/Karl Forster L’ensemble est très bien défendu par le Wiener Symphoniker et le Prague Philharmonic Choir, tous impeccables musicalement, dont le chef Dirk Kaftan sait tirer d’impressionnantes sonorités. Les solistes, particulièrement sollicités par une partition exigeante, se donnent à fond. Le ténor mexicain Rafael Rojas, qui a déjà chanté plusieurs rôles à Bregenz, prend à bras le corps ce rôle énorme qu’il maîtrise parfaitement. La puissance de sa voix n’empêche pas une grande variété d’inflexions, qui participent de la construction du personnage. Le baryton Lucio Gallo, également vedette […]
2019-09-22 07:52:00
Le Roi et le charbonnier, version I : création moderne à Prague
[…] de ce dernier, datant de 1887, a donné lui à une "version III", B. 151 (mais il ne s'agit pas ici d'une réécriture intégrale comme entre les "versions" I et II).(2) Liste des interprètes :Kateřina Kněžíková, soprano Richard Samek, ténor Roman Hoza, baryton Jozef Benci, basse Lucie Hilscherová, mezzo-soprano Josef Moravec, ténor Dana Burešová, soprano Jana Sibera, soprano Jan Šťáva, basse Ondřej Koplík, ténor Michal Onufer, baryton Prague Radio Symphony Orchestra, dir. Tomáš Brauner Prague Philharmonic Choir, Lukáš Vasilek choirmaster Informations tirées de www.dvorakovapraha.cz/en/programme/detail/dvorak-king-and-collier. (3) Cette redécouverte suit celle d'Alfred, tout premier opéra de Dvořák, joué à ce même festival en 2014. On ne voit plus guère que la musique de scène pour Josef Kajetan Tyl (catalogue B 125) qui soit encore à exhumer pour compléter la collection complète des "grandes" œuvres manquant encore au concert ou au disque.
2017-07-06 07:46:24
CD, compte rendu critique. DVORAK : STABAT MATER (Belohlavek, Prague mars 2016, 1 cd Decca)
CD, compte rendu critique. DVORAK : STABAT MATER (Belohlavek, Prague mars 2016, 1 cd Decca). Etrangement la Philharmonie Tchèque / Czech Philharmonic sonne démesurée dans une prise de son à la réverbération couvrante qui tant à diluer et à noyer le détail des timbres, comme le relief des parties : orchestre, solistes, choeur (Prague Philharmonic Choir). Heureusement, la direction tendre de Jiri Belohlavek évite d’écraser et d’épaissir, malgré l’importance des effectifs et le traitement sonore plutôt rond et indistinct. C’est presque un contresens pour une partition qui plonge dans l’affliction la plus déchirante, celle d’un père (Dvorak) encore saisi par la perte de ses enfants Josefa en septembre 1875, puis ses ainées : Ruzenka et Ottokar. Fini en 1877, créé à Prague en 1880, le Stabat Mater imposa un tempérament puissant, à la fois naif et grandiose, qui alors, confirmait l’enthousiasme de Brahms (très admiratif la Symphonie n°3 de Dvorak). L’étonannte […]