nombre que se dio sucesivamente a varias salas de espectáculos en París en el siglo XIX
- Compañía de ópera
- París
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Última actualización
2024-05-05
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Richard Wagner Hoffmann Ferdinand Hiller Johanna Wagner Wilhelmine Schröder Devrient Schröder Devrient Josef Tichatschek Metternich Georg Solti Wiener Philharmoniker 1799 1813 1837 1842 1843 1845 1846 1847 1852 1853 1854 1860 1861 1883
Overture from "Tannhäuser" and "Chor der Sirenen". "Tannhäuser" (full title, "Tannhäuser und der Sängerkrieg auf Wartburg"), is a german opera in three acts, music and text by Richard Wagner +••.••(...)), based on the two German legends of Tannhäuser and the song contest at Wartburg. The story centers on the struggle between sacred and profane love, and redemption through love, a theme running through most of Wagner's mature work. Heinrich Heine had provided Wagner with the inspiration for Der fliegende Holländer. Wagner drew on Heine for the plot of Tannhäuser: Heine's sardonic poem Elementargeister, telling of the lure of the grotto of Venus, was published in 1837 in Der Salon. Wagner also drew material from E. T. A. Hoffmann's story The Singer's Contest and Ludwig Tieck's 1799 story Faithful Eckhart and Tannhäuser. Other possible sources include the 15th century folk ballad "Das Lied von dem Danheüser" and Ludwig von Bechstein's collection of Thuringian legends Der Sagenschatz und die Sagenkreise des Thüringerlandes. Wagner wrote the prose draft of Tannhäuser between June and July 1842 and the libretto in April 1843. The libretto of Tannhäuser combines the mythological element of German opera and the medieval history of French Grand Opera. Wagner brings these two together by constructing a plot involving the 14th century Minnesingers and the myth of Venus and her realm of Venusberg ('the mountain of Venus'). Both the historical and the mythological are united in Tannhäuser's personality; although he is a historical poet composer, little is known about him other than myths that surround him. Furthermore, half of the opera takes place in a historical setting, and half takes place in the mythological Venusberg. Wagner began composing the music during a vacation in Teplitz in the summer of 1843 and completed the full score on 13 April 1845; the opera's famous overture, often played separately as a concert piece, was written last. The instrumentation also shows signs of borrowing from French operatic style. The score includes parts for on-stage brass; however, rather than using French brass instruments, Wagner uses twelve German waldhorns. Wagner also makes use of the harp, another commonplace of French opera. The first performance was given in the Royal Theater in Dresden on 19 October 1845. The composer Ferdinand Hiller, at that time a friend of the composer, assisted in the musical preparations for the production. The part of Elizabeth was sung by Wagner's niece Johanna Wagner. Wagner had intended to premiere the opera on 13 October, Johanna's 19th birthday, but she was ill, so it was postponed for six days. Venus was created by Wilhelmine Schröder-Devrient, and the title role was taken by Josef Tichatschek. The performance was conducted by the composer. Tannhäuser was not the success that Rienzi had been, and Wagner almost immediately set to modifying the ending, tinkering with the score through 1846 and 1847. There were performances in Schwerin, Breslau, Freiburg, Wiesbaden [1852]; Frankfurt/M., Riga, Leipzig, Poznan, Darmstadt, Hamburg, Königsberg, Köln [1853]; Graz and Prague [1854] This version of the opera, as revised for publication in 1860 (including some changes to the final scene) is generally known as the "Dresden" version. Wagner substantially amended the opera for a special 1861 performance by the Paris Opéra. This had been requested by Emperor Napoleon III at the suggestion of Princess Pauline von Metternich, wife of the Austrian ambassador to France. This revision forms the basis of what is now known as the "Paris version" of Tannhäuser. Wagner had originally hoped the Parisian première would take place at the Théâtre Lyrique. However, the première was at the Paris Opéra, so the composer had to insert a ballet into the score, according to the traditions of the house. Wagner agreed to this condition since he believed that a success at the Opéra represented his most significant opportunity to re-establish himself following his exile from Germany. However, rather than put the ballet in its traditional place in Act II, he chose to place it in Act I, where it could at least make some dramatic sense by representing the sensual world of Venus's realm. Thus in Tannhäuser the ballet takes the form of a bacchanale. Conductor: Georg Solti & Wiener Philharmoniker.
Giuseppe Verdi Robert Wilson Shakespeare Aleksandrs Antoņenko Tassis Christoyannis Cellia Costea Petros Magoulas Snfcc Scala Gno 1887 1989 2019 2022
L’Opéra national de Grèce présente Otello de Giuseppe Verdi dans une mise en scène, décors et lumières de Robert Wilson, un des artistes les plus importants de notre époque dans le domaine du théâtre et des arts visuels, qui collabore pour la première fois avec l'unique théâtre lyrique grec, à partir du 23 février et pour sept représentations, dans la Salle Stavros Niarchos du SNFCC. Il s’agit d’une des plus importantes coproductions de l’Opéra national de Grèce réalisée avec l’institution historique d’opéra européen qu'est le festival de Baden-Baden, grâce au soutien de la donation de la Stavros Niarchos Foundation (SNF) [www.SNF.org] destinée à renforcer le rayonnement artistique international de l’Opéra national de Grèce. Otello, opéra en quatre actes de Giuseppe Verdi suit la narration du chef-d'œuvre éponyme de Shakespeare et enveloppe le récit avec une musique d’une force explosive et d'une économie exemplaire des moyens d’expression. L’héroïsme d’Otello, la haine inextinguible d’Iago, la pureté et la bonne foi de Desdémone sont esquissés d’une façon inégalée dans la composition de Verdi. D’une précision unique en son genre, la musique rend de façon spectaculaire l’orage qui se déchaîne en mer mais aussi, et surtout, le paysage psychique du personnage principal qui s’effondrera du haut de sa gloire, livré à son instinct de jalousie. L’avant-dernier opéra de Verdi marqua un énorme succès lors de sa création en 1887, à la Scala de Milan et, depuis, il figure dans le répertoire de tous les théâtres lyriques et en tête de liste des préférences du public. Metteur en scène d’avant-garde maintes fois primé, Robert Wilson a transformé la mise en scène de l’opéra au travers de son langage personnel absolument reconnaissable. Il donne le premier rôle à la musique et propose un monde scénique minimaliste pour Otello, plein d’images esthétiquement impressionnantes et chargées d’émotions, aux lumières sophistiquées, une gestuelle stylisée, des costumes originaux et des maquillages intenses. La production fut chaleureusement accueillie lors de sa première présentation en avril 2019, au Festival de Pâques de Baden-Baden, en Allemagne. Le metteur en scène dit à propos du spectacle : « Otello exige un pouvoir de concentration accru. Son histoire est plus une affaire de conflit intérieur, d’un manque de confiance en soi, d’un homme qui est très puissant mais aussi très faible. Une situation, classique, tragique, complexe. On a un étranger face à soi. (….) Otello traite d’une question : Comment on se sent quand on est étranger ? Un conflit qui est certainement contemporain mais aussi classique. De tels conflits on les retrouve dans toute la littérature et dans toute l’histoire de l’humanité. On pourrait dire qu’il est contemporain, mais je dirais plutôt qu’il est « plein » de temps. Il n’est pas intemporel, mais « plein » de temps. On pourrait remonter au 16ème ou au 19ème siècle ou bien rester au 21ème siècle : nous retrouverons toujours les mêmes conflits familiers ». Sous la baguette de Stathis Soulis, l’ un des chefs d’orchestre Grecs les plus prometteurs de la nouvelle génération on retrouve une distribution d’excellents artistes au rayonnement international. Dans le rôle-titre, nous aurons le plaisir de (re)découvrir Aleksandrs Antoņenko, l’Otello le plus acclamé de nos jours, et qui, depuis une dizaine d’années, réalise un parcours remarquable parmi les théâtres lyriques les plus importants de la planète. Ses débuts dans le rôle d’Iago fera le baryton Grec Tassis Christoyannis qui, depuis 1989, excelle sur la scène de l’Opéra national de Grèce, et du Mégaron de la Musique d’Athènes et des plus grands théâtres du monde. Le rôle de Desdémone sera interprété par Cellia Costea, la soprano au rayonnement international du GNO qui a collaboré avec les plus grands théâtres lyriques et les salles les plus importantes du monde. Otello Giuseppe Verdi 23, 27 février & 2, 5, 8, 11, 15 mars 2022 • À 19h30 (dimanche à 18h30) Salle Stavros Niarchos de l’Opéra national de Grèce - SNFCC Direction musicale : Stathis Soulis Mise en scène-Décors-Lumières : Robert Wilson Metteure en scène associée : Nicola Panzer Décorateur associé : Serge von Arx Costumes : Jacques Reynaud Éclairagiste associé : Marcello Lumaca Coiffures & Maquillage : Manuela Halligan Vidéo : Tomek Jeziorski Chef de chœur : Agathangelos Georgakatos Chef de chœur d’enfants : Konstantina Pitsiakou Otello : Aleksandrs Antoņenko Desdémone : Cellia Costea Iago : Tassis Christoyannis Cassio : Dimitris Paksoglou Emilia : Violetta Lousta Roderigo : Yannis Kalyvas Lodovico : Petros Magoulas Montano : Marinos Tarnanas Le héraut : Pavlos Sampsakis Avec l’Orchestre, le Chœur et le Chœur d’enfants du GNO, dans le cadre de sa mission éducative. Grand donateur GNO & Donateur de la production : Stavros Niarchos Foundation (SNF) Production parrainée par : Banque Piraeus (http•••)
Charles Gounod Jules Barbier Léon Carvalho Carvalho Miolan Carvalho Choudens Ópera Garnier Teatro Nacional Costa Rica Metropolitan Opera 1859 1860 1861 1862 1863 1869 1875 1883 1897 1950 1965 1977 2005 2008 2010 2021
Miguel Martiarena, tenor Grabación efectuada el 15 de noviembre de 2021 en La Plata (http•••) Fausto (título original en francés, Faust) es una grand opéra en cinco actos con música de Charles Gounod y libreto en francés de Jules Barbier y Michel Carré, versión de la leyenda de Fausto; adapta la pieza teatral Faust et Marguerite de los mismos Barbier y Carré, inspirada levemente en el Fausto, parte I, de Goethe. Se estrenó en el Théâtre Lyrique (Théâtre-Historique, Opéra-National, Boulevard du Temple) en París el 19 de marzo de 1859. Gounod se decidió a tratar el tema de Fausto respondiendo al clima general de admiración por la intelectualidad germánica que se estaba creando en Francia, y que generaría la adaptación de obras de Goethe para la escena francesa, y el primer intento fallido de Wagner de estrenar en París (1861). Fausto no fue aceptada en el Teatro de Ópera Nacional, por ser poco "vistosa" y el estreno en el Lyrique tuvo que retrasarse un año porque se presentaba el drama Fausto de Adolphe d'Ennery en Porte St. Martin. El gerente del teatro, Léon Carvalho, designó a su esposa Marie Miolan-Carvalho, para interpretar el personaje de Marguerite, e impuso varios cambios durante la producción, incluso llegó a suprimir algunas partes. Se estrenó en el Théâtre-Lyrique de París el 19 de marzo de 1859. Incluía diálogos hablados que posteriormente, con ocasión de la primera representación en Estrasburgo, en abril de 1860, fueron sustituidos por recitativos. Fausto no fue inicialmente bien recibida, pero su editor, Antoine Choudens, que había adquirido los derechos por diez mil francos, emprendió una gira con la obra por Alemania, Bélgica, Italia e Inglaterra, con la misma Marie Caroline Carvalho en el papel principal. Para esta gira se cambió el diálogo hablado de la versión original por recitativos. En 1862, tres años después del estreno, se repuso en París, y esta vez fue un éxito. Más tarde, Gounod insertó en el acto II el aria de Valentin, Avant de quitter ces lieux..., con ocasión de la representación en el Her Majesty's Theatre en 1863. En 1869, se presentó una tercera versión, con el ballet de la noche de Walpurgis incluido para que la obra pudiera ser interpretada en la Ópera en 1869: se convirtió en la ópera más frecuentemente representada en ese teatro y un producto principal del repertorio internacional, en donde permaneció por décadas, siendo traducido a, al menos, 25 idiomas En París, Fausto gozó de 314 funciones en los diferentes escenarios del Théâtre-Lyrique hasta abril de 1869, después fue representada 166 veces desde el año 1869 al 1875 en la Ópera (Salas Le Peletier y Ventadour). La obra conoció una larga carrera internacional y gozó de una inmensa popularidad: fue representada más de 2400 veces en la Ópera Garnier. Fue la obra con la que se inauguró la Metropolitan Opera en la ciudad de Nueva York el 22 de octubre de 1883, así como el Teatro Nacional de Costa Rica el 19 de octubre de 1897. Es la octava ópera más representada en el Metropolitan Opera, con más de 730 representaciones hasta 2008. Su popularidad y reputación ha decaído un poco desde alrededor de 1950. Esto se debe a que una producción completa, con sus grandes coros y elaborados escenarios y vestuario resulta muy costosa, sobre todo si se incluye el ballet en el acto V. No fue hasta el período entre 1965 y 1977 que la versión completa fue interpretada (y luego con algunos cortes menores), y todas las representaciones en esa producción incluyeron la Walpurgisnacht y el ballet.2 Fausto sigue siendo una de las óperas más populares; en las estadísticas de Operabase aparece como la n.º 35 de las cien óperas más representadas en el período 2005-2010, siendo la 3.ª en francés y la primera de Gounod. La ópera francesa era muy rígida en sus planteamientos y Gounod demasiado superficial para tratar el tema de Fausto en profundidad, motivo por el cual en Alemania, aunque apreciaron la bella y eficaz partitura de Gounod, la ópera jamás se anuncia con su título original, sino que la llaman Marguerite, al considerar que tan solo trata del episodio de este personaje femenino de la obra de Goethe. Miniatura: Fantasía sobre Fausto, por Mariano Fortuny y Marsal
Charles Gounod Jules Barbier Gallois Théâtre Lyrique 1860 1876 1975
PHILÉMON ET BAUCIS Opéra en 2 ou 3 actes Composer: Charles Gounod Librettists: Jules Barbier & Michel Carré, after Jean de La Fontaine’s fable based on Ovid’s Metamorphoses First performance: Théâtre-Lyrique, Paris, 18 February 1860 PLOT: Philémon and Baucis are a devoted elderly couple who unknowingly entertain the gods Jupiter and Vulcan to dinner. Because they have shown hospitality and piety, the gods restore the couple’s youth. (The second act, omitted in the 1876 two-act revision, is a choral ballet showing an orgy in Jupiter’s temple; it ends with the outraged gods sending a flood to destroy the sinners.) In the final act, Jupiter tries to seduce the now youthful Baucis, but she resists. Moved by the couple’s pleas to be old again, he refuses to take back his gift, but blesses them and promises never to threaten their happiness. No. 7 – Quartettino: “Prenez place à la table” No. 8 – Final: “Allons! triste buveur” Philémon and Baucis prepare dinner for their guests, and learn to their surprise that they are gods. In return for their hospitality, the gods will make them young again and turn their home into a palace. Philémon and Baucis fall into a magical slumber. Philémon (tenor): Jean-Claude Orliac Baucis (soprano): Anne-Marie Rodde Jupiter (bass-baritone): Pierre Néquecaue Vulcain (bass): Felix Giband Conductor: Henri Gallois Orchestre Lyrique de l’O.R.T.F. Paris, 1975
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- Compañías de ópera (Europa).
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